MAIS, QU’EST-CE QUI EST SI DIFFICILE À COMPRENDRE ??… (MISE À JOUR)

MAIS, QU’EST-CE QUI EST SI DIFFICILE À COMPRENDRE ??…

Je suis sidérée par ce que j’entends…

Mise à jour : j’ai amélioré mon texte (en y apportant plus de précision) car je l’avais écrit à chaud…

L’extrait ci-dessous est tiré d’une vidéo de CLCFR (podcast du 20 février 2024) que je n’ai pas fini de visionner car, passé cet extrait, je n’en pouvais plus… Je le publie ici pour vous signaler des erreurs qu’il faut éviter car elles risquent de coûter cher.

Personne ne veut perdre son temps ni se heurter frontalement aux puissances de ce monde :

« Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » 
~ Éphésiens 6:12

Ce n’est pas de la couardise de ma part personne ne pourrait me taxer de couarde c’est tout simplement du bon sens et de la prudence. La Bible dit :

«Voyez ! Je vous envoie comme des brebis au milieu des loups ; soyez donc prudents comme des serpents et innocents comme des colombes.»
~ Matthieu 10:16.

Explication de texte :

«Prudents» indique qu’il faut faire attention, ne pas faire ni dire / écrire n’importe quoi, ne pas s’exposer au danger, éviter de prendre des coups dont on pourrait difficilement se remettre.

«Innocents» indique que si vous savez ce que vous dites (plutôt que de brasser de l’air) parce que vous l’avez compris, vous aurez la paix de l’esprit (= l’innocence de la colombe) et vous avancerez d’un pas sûr car vous savez que vous empruntez la bonne voie.

Dans l’extrait qui suit, il est clair que certains points n’ont pas été assimilés ni par Annie (CLCFR), ni par Jim (CLCFR), ni par Marie (adhérente à CLCFR) qui s’est lancée dans une affaire qui la dépasse en s’imaginant qu’il suffisait de claquer des doigts pour «avancer»… Or, les points non assimilés sont des points basiques, lesquels sont souvent à l’origine de problèmes et de situations pénibles s’ils ne sont pas maîtrisés… comme Marie en fait l’expérience.

Ce n’est pas la première fois que je surprends Jim et Annie en train de donner des conseils hallucinants à leurs followers que jamais je ne suivrais (sauf à vouloir foncer dans le mur !)… La pauvre Marie ! Les «conseils» peu judicieux et dangereux que lui donnent Annie et Jim l’ont déjà enfoncée et elle est à deux doigts de perdre son compte bancaire… Quelqu’un peut-il expliquer à Marie ainsi qu’à Jim et Annie que toutes les banques fonctionnent selon les mêmes principes vu qu’il s’agit d’un système ?

Voici l’extrait qui débute à la minute 01:26:15. Je vous laisse en juger (mes commentaires sont en notes de bas de page et l’emphase de la transcription est de moi) :

Marie : […] C’est depuis que j’ai fait la révocation des mandats [1]… Le directeur n’a pas apprécié, il m’a dit «mais qu’est-ce que c’est que ça, vous avez fait un courrier, vous avez fait une tache de sang, qu’est-ce que ça veut dire ?» […] Il m’a dit qu’il me virait de la banque en me donnant un préavis de deux mois, et maintenant je n’ai plus accès à mon compte en ligne. Je suis donc allée à la banque demander des explications. On m’a répondu que c’est normal, que c’est la procédure et que je recevrais un courrier. Donc, je sais qu’ils m’ont envoyé un recommandé, mais comme moi je suis positionnée en «être vivant», aussitôt qu’il y a un courrier écrit en glossa, je ne réponds pas. Il repart d’où il vient. […] Pourquoi font-ils cela ? Je ne peux plus accéder au compte [2].

Jim : ils ont enclenché ce qui s’appelle le préavis qui fait partie de leurs conditions générales.

Marie : je ne peux plus accéder à mon compte ; ils peuvent faire ça ? [3]

Annie : Qu’est-ce qui te dérange ? [4]

Marie : ce qui me dérange c’est que je ne peux pas voir ce qu’ils font. […] [une Héléna intervient et Jim donne des avis]

Annie : je reviens sur ma question : toi, tu veux pouvoir vérifier ce qu’ils font sur ton compte, c’est ça ?

Marie : tout à fait.

Annie : tu as l’Option 1, soit tu luttes pour rester dans la banque [Marie l’interrompt]

Marie : Annie, je n’ai pas répondu ; le courrier est reparti.

Annie : je te donne les options, c’est tout… […] Ils ne t’ont pas virée de la banque, ils t’ont juste fermé un compte [5]… […] tu en ouvres un nouveau. Ils ne peuvent pas te refuser, ce sont des commerçants [6]. Ou alors ils justifient […] et tu peux les attaquer pénalement [7] pour discrimination. Ils n’ont aucune raison. […]

Marie : ce qu’ils me reprochent c’est d’avoir envoyé de tels courriers [8]

[…]

Marie : [9] […] [arguments sur «l’être vivant»…] […] Oui, je galère ; je me suis fermé plein de choses parce que je pensais que ce serait différent […] beaucoup plus facile [10] Je galère, je n’ai plus de CAF [11], plus de ci, plus de ça… […]

[…]

Marie : je suis grillé de la banque. […]

[…]

Annie : demande-lui [au directeur] qu’il t’écrive la raison [de la fermeture du compte].

Marie : c’est le courrier recommandé que j’ai reçu. […] Je lui ai dit «faites-moi un courrier mentionnant le motif» […] et j’ai reçu un recommandé après… J’ai vu que le recommandé était tout en glossamajuscules et quand je reçois un courrier en glossamajuscules, j’en veux pas. [12] Je suis un être vivant [13], je me suis bien positionnée à l’intérieur de moi [14] et je n’en veux pas ; ça repart d’où ça vient. Moi, je ne connais pas…

Jim : du coup tu n’as pas lu le motif…

Marie : Voilà… Du coup, je ne sais pas… […]

Jim : C’est le premier principe, tu ne contractes pas puisque tu n’es pas une entreprise [15] ; donc, c’est vrai, tu as raison [16]. Mais, là on est bloqué [17]

Annie : Il y a un coup à faire [18], mais il faut que tu sois super déterminée. Y’a un coup à faire… Leur as-tu déjà demandé qu’ils produisent le contrat préalablement formé entre toi et eux. [19]

Marie : ben, on a fait plusieurs courriers déjà, Annie [20]

Annie : oui, mais a t-on mis en avant cette information ? Parce que s’ils n’ont pas répondu à cette information, tu vas pouvoir leur envoyer un dernier courrier avant d’aller porter plainte [21]. Mais après, il faut aller jusqu’au bout. Tu portes plainte pour discrimination, pour non respect du contrat [22] et là tu mets les deux poings sur la table. Là, ça va bouger [23].

Marie : oui, mais là pareil : le tribunal c’est pas pour moi, j’y ai pas ma place [24].

Annie : porter plainte ne veut pas dire tribunal. Tu peux porter plainte au pénal et après retirer ta plainte suivant comment il réagit [25].

Marie : il faut que je regarde les courriers et qu’on voie ensemble [26]

Annie : si tu veux qu’on te respecte en tant qu’être vivant, il faut exiger qu’ils utilisent ta personne physique [27] et non pas cette entité morale et inconnue [28]. Et donc, tu peux porter plainte pour faux en écriture [29], pour suspicion de complicité de mise en esclavage, parce que les arguments on les a [30], et voilà. Mais es-tu prête à aller déposer plainte ? Es-tu prête à te confronter à tout ce qu’ils pourront eux mettre parce qu’ils ont le service juridique, etc mais en argumentaire, on a ce qu’il faut [31].

Jim : Annie, Annie, s’il te plaît [32]… C’est une bonne proposition de ta part, j’en doute pas [33], mais, sois raisonnable, Marie [34], Lumière Divine, il y a des choses plus simples et plus importantes dans la vie [35]. Tu ne vas pas te lancer dans cette bataille-là !… [36]

Marie : je suis d’accord, je ne cherche pas la bagarre [37]. C’est la manière de faire… Si on accepte de faire tout comme ça, c’est pas comme ça qu’on va avancer [38]. Déjà, le combat n’est pas facile [39] parce qu’ils ont tout verrouillé et ils sont tous de mèche [40]. Mais à un moment, il faut qu’on fasse les choses [41], il faut que ça bouge… [42]

Jim : Si tu es prête, fais-le [43], j’ai rien contre ça [44], mais en t’écoutant, je pense que ce n’est peut-être pas raisonnable à ce stade [45], tu vois ? C’est toi qui décides [46]

Marie : il faut que je vois par rapport au courrier qu’on a déjà fait avec Annie [47].

Annie : je regarde ça demain, Lumière Divine. Je reviendrai sur nos messages échangés et je te proposerai un truc [48] À toi de jauger [49]. Option 1 : tu ouvres un autre compte et tu fais tout transférer. Option 2 : tu réclames ton dû qu’on te respecte dans cette banque [50] Option 3, tu ré-ouvres un autre compte, tu les bluffes [51] comme ça, tu ne fais pas de procès ni rien. Tu leur dis «Je voudrais ouvrir un autre compte puisque celui-là vous me l’avez fermé» [52]… Il seront obligés [53], ils n’ont aucun argumentaire [54]

Jim : [55]

Marie : Je n’y crois pas, Jim, parce que je suis grillée au rouge avec la banque [56] parce que je les dérange [57]…

[…]

Marie : je veux les mettre en faute. Je ne veux pas me laisser faire…

Jim : Marie, pour moi c’est de l’orgueil [58].

Marie : Je vais voir avec Annie [59] et je vous dirais la suite .

Fin de l’extrait 01:51:10.

Je ne peux que souhaiter bon courage à Marie pour la suite et lui conseiller de venir apprendre les bases saines sur BibiCabaya au lieu de se faire manipuler et utiliser comme un pion pour satisfaire l’ego de certains au sein d’une structure sur laquelle persistent des doutes

Je me demande si CLCFR n’est pas un cheval de Troie de la Cabale, introduit dans le mouvement des «aspirants-souverains» de France, dont le but est précisément de torpiller ce mouvement en induisant les gens en erreur… La question se pose. Opposition contrôlée ? Bien sûr, je ne vais pas visionner toutes leurs vidéos, mais j’en ai visionné quelques unes et je constate qu’ils envoient les gens au casse-pipe sans leur avoir fourni les bases et sans vérifier qu’ils les ont bien intégrées. Si tu joues le rôle du prof, tu le joues jusqu’au bout ! N’oublions pas que ce sont ces mêmes gens qui incitaient leurs followers à émettre des lettres de change portant un numéro IBAN non vérifié («vérifié» signifie qu’on connaît le nom du titulaire du compte, entre autres détails), ce qui est la preuve certaine que ces gens tâtonnent dans l’ombre tout en prétendant «avoir l’argumentaire». Finalement, ils ont mis fin à cette arnaque après que je suis intervenue publiquement sur ce blog… 


NOTES :

1 La «révocation des mandats» est un «truc» qui a le vent en poupe à CLCFR et tous CLCs (mon terme pour «adhérents de CLCFR») révoquent leurs mandats à la banque… Les CLCs ont l’impression d’être «souverains» quand ils ont révoqué leurs mandats. Pourtant, quand Marie raconte son histoire, ce n’est pas du tout ce que j’entends… Je constate, au contraire, une femme déconcertée de ce qui lui arrive et qu’elle n’avait ni envisagé ni vu venir… Ce qui indique qu’elle a agi sans savoir ce qu’elle faisait, sans connaître au préalable la portée de son action. J’ai vécu près de deux décennies en Angleterre et, là-bas, il y a un adage qui dit : «Si ce n’est pas cassé, ne le répare pas !» Si vous n’avez pas de problème avec votre banque, quel est l’intérêt pour vous de «révoquer vos mandats» ? D’ailleurs, même si vous avez un problème avec votre banque, s’il ne concerne pas vos mandats, pourquoi les révoquer ? En 2022, j’ai eu un sérieux problème avec ma banque, Crédit Agricole (un cas flagrant d’abus de confiance et de fraude que j’ai réglé sans révoquer aucun mandat… Un jour, je vous en parlerai peut-être). Heureusement, la banque ne me vole pas tous les jours (en tout cas, pas que je m’en aperçoive ! 😂 😂) Les banques sont déjà nos ennemies en règle générale (puisque le système œuvre contre nous), alors ne faisons pas de notre banque notre ennemie en particulier… J’appelle cela de la sagesse de rue.

2 C’est là que Marie apprend / comprend que nos ennemis ont un grand pouvoir de nuisance dans notre vie. Visiblement, elle l’ignorait…

3 Marie ne connaît pas son ennemie, elle ignore sa puissance et découvre, ébahie, que la banque a les moyens de l’emmerder et qu’elle n’est pas à la hauteur… Pourtant, elle aurait dû le savoir avant d’entreprendre toute action, de façon à éviter les écueils.

4 Sûrement le fait de perdre son compte bancaire ! 

5 Annie semble la seule à faire une différence entre les deux… Quand la banque ferme le compte cela veut dire qu’elle résilie le contrat = tu es viré !

6  À la différence que la banque c’est pas Ed l’épicier… Ses actions ont de plus lourdes conséquences dans nos vies.

7  Annie est la seule à croire que Marie a suffisamment de ressources, y compris mentale, pour «lutter contre la banque»… Elle qui ne comprend même pas comment elle en est arrivée là. Comme c’est triste ! D’autant plus qu’une telle action (en justice) est est vouée à l’échec…

8 Il s’agit des courriers types de CLCFR qui, de mon point de vue, sont très mal formulés (je parle de ceux que j’ai ramassés sur VK) et ne peuvent donc donner les résultats escomptés (c’est le cas pour Marie en tout cas).

9 Marie explique les conséquence pour elle d’une éventuelle fermeture de compte, ce à quoi elle n’avait pas pensé avant d’entamer sa démarche, et donc elle est prise de court — sans pouvoir, à ce stade, renverser la décision de la banque.

10  Le mot est lâché : F-A-C-I-L-E !!! Et qui a bien pu donné à Marie l’impression que c’est«facile» ?

11  Marie s’est-elle radiée de la CAF ? Qui le lui aurait suggéré ?

12 Si vous avez contracté avec une personne morale (banque, assurance, propriétaire / bailleur, prestataires de services, etc.), les courriers qu’elle vous enverra seront toujours adressés à votre personne juridique (glossa / majuscules) dans la mesure où les entités juridiques ne peuvent contracter qu’entre elles… En outre, même si l’entité vous adressait des courriers en écrivant le nom autrement qu’en glossa-majuscules, c’est TOUJOURS à votre personne juridique qu’elle s’adresse pour la raison donnée plus haut. Donc, l’écriture du nom n’a aucune importance, je l’ai déjà dit sur ce blog, c’est juste une perte de temps et un manque de compréhension que de s’arrêter à ce détail qui embrouille l’esprit. Un esprit sain comprend que si une lettre est arrivée dans la boîte aux lettres, le mieux est de l’ouvrir afin de connaître la nature de la proposition pour mieux la réfuter… Dire «je refuse le courrier car il est adressé à ma personne» indique que le locuteur n’a pas compris cet axiome de base ni la différence qui existe entre le monde réel (naturel) et le monde juridique (fictif) et qu’il nage en plein délire en s’imaginant être «souverain». Toutes les sociétés et entités «étatiques»(et autres entités commerciales) ne peuvent s’adresser QU’À votre personne juridique puisqu’elle a été conçue et créée pour cela. En tant qu’administrateur de cette personne, il vous incombe d’ouvrir les courriers qui lui sont adressés et d’en prendre connaissance — sauf à vous causer de sérieux problèmes par la suite. Toutefois, s’il s’agit de courriers abusifs — cela arrive — dont vous connaissez d’avance le contenu sans vous trompez, vous pouvez les ignorer. [APARTÉ : Cela m’est arrivée de ne pas aller prendre des lettres recommandées, mais seulement parce que je savais ce qu’elles contenaient puisque j’appréhendais parfaitement la situation dans laquelle j’étais. Cela ne m’a donc occasionné aucun préjudice, contrairement à Marie qui ne comprend même pas ce qui lui arrive.]

13 Par cette formule «je suis un être vivant», Marie nous informe qu’elle ne réalise pas que c’est elle-même, la femme vivante, qui est allée ouvrir un compte bancaire chez Crédit Agricole !! Ce n’est pas sa personne juridique qui l’a fait, c’est ELLE !!! Toutefois, elle l’a fait au moyen de sa personne puisque la banque ne peut pas lui ouvrir un compte en tant qu’être vivant vu qu’elle ne peut traiter avec le vivant [APARTÉ : il existe un cas aux États-Unis Canada où cela s’est produit, mais c’est l’unique cas à ma connaissance, raison pour laquelle je ne l’avais pas mentionné jusqu’ici]. Donc, si vous allez — forcément en tant qu’être vivants puisque c’est ce que vous êtes — ouvrir un compte à la banque au moyen de votre personne juridique, vous ne pouvez pas vous cacher derrière votre petit doigt plus tard en disant «je refuse les courriers de la banque parce qu’ils sont adressés à ma personne» !!! Le compte est au nom de votre personne, et c’est VOUS qui gérez ce compte en son nom, donc vous devez lire les courriers que la banque vous envoie (au travers de votre personne) et agir de façon appropriée. Autrement, vous vous mettez en faute («déshonneur commercial») et cela peut vous coûter cher : fermeture du compte, perte de temps, frais supplémentaires, etc., en plus de passer pour un idiot et un prétentieux !

14 Le «positionnement» correct consiste à comprendre que l’on opère en commerce et que c’est avec la personne juridique qu’on le fait relativement à la Matrice et que c’est nous qui gérons cette personne. C’est le seul «positionnement» possible… On ne se «positionne» pas en tant qu’ «êtres vivants» : NOUS SOMMES DES ÊTRES VIVANTS !!! C’est notre NATURE !!

15 Jim dort profondément, et pendant son sommeil, il «conseille» Marie… Mais comme il dort, il ne réalise pas que Marie a déjà contracté avec la banque puisqu’elle a signé un contrat pour l’ouverture du compte… et elle l’a fait avec la carte d’identité de sa personne qui est telle une entreprise ! Dors, Jimmy, dors…

16 NON, Marie n’a pas raison : elle est dans l’erreur !

17 C’est ce qui arrive quand on est dans l’erreur…

18 Un «coup» à faire  ?… Hum…

19 Marie est en possession du contrat entre la banque et elle. Quel besoin aurait-elle d’aller le réclamer à la banque comme «preuve de réclamation» Toutes les réclamations de la banque ont pour source ce contrat signé entre les parties. C’est si vrai qu’aucune banque avec laquelle vous n’avez pas signé de contrat n’enverra du courrier à votre personne

20 Il s’agit de courriers conçus par CLCFR et dont on voit le résultat.

21 En règle générale, quand on a compris à qui on a affaire s’agissant des banques, la dernière chose que l’on souhaite c’est les traîner en justice… parce qu’on perdra ! Contre les banques, on perd ! Les tribunaux travaillent pour les banques ! Même si votre dossier est en béton (je connais des cas), vous perdrez. Donc, cette perspective d’Annie me sidère, et la pauvre Marie en prendra plein les dents. La meilleure façon d’agir est d’éviter le tribunal. La plupart des problèmes peuvent être résolus une fois qu’on a écarté le tribunal (ce qui est, d’ailleurs, la raison d’être de l’acceptation conditionnelle : écarter le système judiciaire). Et même quand le problème ne peut être résolu par les parties (pour cause de mauvaise foi ou autre), il ne le sera pas davantage au tribunal quand nos adversaires sont les banques… Rappelez-vous : même Michael Tellinger y avait perdu sa maison !!! Le tribunal ne la lui a pas rendue : il a donné raison à la banque qui agissait dans la fraude… Alors pourquoi mettre Marie en position d’échec ? La proposition hallucinante d’Annie consiste à mettre Marie en position d’échec face à la banque… mais elle ne s’en rend même pas compte, et c’est bien cela le problème. Vous avez deux aveugles qui guident une borgne… Si on ne veut pas du système et qu’on le rejette, pourquoi aller au tribunal qui est le système ? Le système de protection des banques !

22 Donc, finalement, Annie reconnaît qu’il y avait bien un contrat au départ… 😂 😂 😂 !!!

23 😂 😂 😂 !!! Oui, ça va bouger puisque le compte va être fermé ! C’est une action = un mouvement, et Marie ayant démontré qu’elle ne savait pas ce qu’elle faisait ni où elle allait, la banque a pris le dessus. «Quand tu te montres incapable, un autre plus fort que toi prend le relais»… Ne jamais oublier cette maxime : elle est de moi ! C’est la maxime BibiCabaya. C’est pour cette raison qu’avant d’agir il faut savoir ce que l’on fait et où l’on va (voir mon article Un saut dans le vide qui montre clairement ce qui se passe quand cette maxime s’applique). Une fois qu’on a perdu la main, c’est plutôt rare qu’on puisse la reprendre…

24 C’est bien vu de la part de Marie, pourtant c’est bien ce que lui concocte Annie : une plainte en justice… Si elle suit les conseils d’Annie, elle ira se faire laminer et plumer au tribunal… et donc sa situation sera encore pire (vu qu’elle a déjà empiré avec les conseils d’Annie et Jim).

25 Mon avis est que ces gens sont dangereux. Je l’ai su tout de suite quand, suite à la demande d’un «bernard» de leur faire de la pub (voir mon article CLCFR n’est pas un tribunal de droit coutumier), je suis allée faire un tour sur leur site où j’ai découvert une arnaque sous forme de promesses creuses payantes !). Annie se figure qu’elle pourra faire chanter la banque avec une fausse plainte… Si la banque a pris la décision de fermer le compte, c’est qu’elle a au moins une jambe juridique sur laquelle se tenir pour le faire (ou non, d’ailleurs, ce qui ne changera rien à sa décision). En effet, alors qu’elle a un contrat, Marie l’a réclamé à la banque comme «preuve de réclamation» (incompréhension majeure)… Au bout d’un moment, le directeur en a eu assez de recevoir des courriers sans queue ni tête et a décidé de se débarrasser de l’emmerdeuse. Encore heureux qu’il n’ait pas sollicité les hommes en blouse blanche !

26 Ces mêmes courriers qui l’ont menée dans le mur…

27 Une «personne» est toujours juridique car (1) le Créateur n’a pas créé des «personnes», il a créé l’Homme et la Femme qui possèdent une âme vivante qui est une parcelle de Lui-même dans le corps de chair de Ses créatures, et (2) la définition de «personne physique» est… juridique ! Comme je l’ai dit (dans différents articles et documents sur mon blog, et que j’ai réitéré plus haut) : les personnes morales ne peuvent contracté qu’entre elles. Donc, la banque ne va pas rentrer dans le «délire souverain» de Marie alors que cette dernière a contracté avec elle au moyen de sa personne. Il s’agit là d’une exigence de mélange de juridictions de la part d’Annie qu’il faut éviter car on sait où cela mène (voir mes articles Alice et FreeBaba). Annie disait plus haut dans l’extrait en parlant de la banque «ce sont des commerçants». Donc, entre Marie et sa banque, il est question d’une relation commerciale (et donc nécessairement entre personnes morales) et non de «souverain / être vivant / bla bla bla» !

28 Inconnue de qui ? La banque connaît cette entité morale puisque son nom figure sur le contrat signé par Marie, et Marie aussi la connaît vu qu’elle l’a utilisée pour ouvrir le compte !!!

29 «Tu portes plainte dans la Matrice pour combattre la Matrice» ! Quel projet !! C’est sûr que c’est dans la poche 😂 😂 😂 !

30 Les fameux arguments qui ont mené Marie dans cette impasse ??

31 «L’argumentaire» d’Annie a déjà mis Marie à genoux, maintenant elle va être passée au rouleau compresseur…

32 Enfin, une réaction !! Il faut mettre fin à ces divagations !

33 NON, c’est une proposition douteuse et dangereuse car elle ne règle pas le problème de Marie, mais va soulever encore plus de problèmes (perte de temps, d’argent, d’énergie…). C’est nous qui devons régler nos problèmes, pas les tribunaux de la Matrice. Dans la vie on gagne parfois et on perd parfois. C’est comme ça. Il n’y a aucune garantie. Il faut savoir accepter et gérer ses pertes. C’est ce qui nous fait grandir. Ces gens veulent soit-disant sortir de la Matrice, mais ils s’accrochent aux avantages (perçus comme tels en tout cas) de la Matrice : les tribunaux supposés rendre justice !!! 😂 😂 😂 !!! Alors que, de mon point de vue, la démarche de l’aspirant-souverain doit éviter les tribunaux autant que faire se peut. Marie a tort car c’est elle qui est à l’origine de sa situation. Elle s’est embarquée dans une procédure inutile qu’elle ne maîtrise pas sous le fallacieux prétexte qu’ «il faut avancer» alors qu’elle est en chute libre… Cela me rappelle Alice (des épisodes Alice et FreeBaba) qui, en dépit de trois condamnations antérieures (sursis), a continué dans la même veine, ce qui lui a valu 10 mois de taule ferme. Quand tu fais une erreur, tu redresses la situation dans la mesure du possible (ce n’est pas toujours possible) ; tu ne l’aggraves pas !

34 Enfin un peu de bon sens

35 Et les cancans inutiles avec la Matrice n’en font pas partie.

36 Je crois que oui, Jimmy, Annie la prend en charge pour ça !!! 😉😄

37 Je crois Marie sincère, mais elle a établi par son incompétence et sa crédulité tous les paramètres de cette bagarre avec la complicité de ses conseilleurs…

38 La pauvre Marie/Lumière Divine n’est guère plus avancée avec sa méthode vu qu’elle a rendu sa vie encore plus misérable… en suivant les conseils d’Annie. Et maintenant elle est à deux doigts de perdre son compte bancaire… pourtant indispensable pour fonctionner dans la «société». On n’est pas aspirants-souverains pour prouver quoi que ce soit ni pour se faire mousser, mais pour se sortir de situations abusives et potentiellement dangereuses (et non pour s’en créer), et pour cesser de payer ce dont on n’est pas redevable. Tout le reste c’est de l’esbroufe, du m’as-tu-vu… Cette attitude est préjudiciable à la crédibilité et à l’image des aspirants-souverains dans leur ensemble qui, eux, font le travail d’assimilation et de compréhension préalable à toute action de redressement. Marie a montré qu’elle ne comprend pas ce qu’elle fait et qu’elle est dépendante d’une tierce partie (CLCFR) pour la guider, ce qui relève de l’incapacité. De plus, les conseils qu’elle reçoit risquent de lui être encore plus préjudiciables car contrairement à ce que prétend Annie, il n’y a pas de «coups à faire». Il y a juste à appliquer ce que l’on sait être juste, correct et en accord avec la situation et, cela, Marie ne le sait pas (comment se fait-il ?), pas plus Annie, d’ailleurs… Jim sait que ce n’est pas la bonne voie, mais il encourage quand même Marie en lui faisant croire qu’elle maîtrise la situation et qu’elle fera «ses choix», supposément «informés», alors qu’elle ne maîtrise rien du tout par son incompréhension et que, finalement, elle ne fera que ce que lui suggère CLCFR («marché captif»…). Être «souverain» c’est d’abord avoir l’esprit libre :  «Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira.» ~ Jean 8:32

39 Et, tristement, Marie a rendu ce combat plus difficile par son incompréhension : ses bases sont faibles et branlantes, elle ne peut donc pas se tenir sur ses pieds.

40 Qu’ils soient «tous de mèche» ne nous interdit ni ne nous empêche soit de réfléchir soit d’agir en conscience (= en toute connaissance de la situation, de ses conséquences éventuelles et de la bonne voie à emprunter). D’autre part, puisque Marie sait «qu’ils sont tous de mèche» pourquoi aller au tribunal où «ils sont tous de mèche» également, et où ce ne sera pas elle qui prendra les décisions ? La Bible dit : «Accorde-toi promptement avec ton adversaire, pendant que tu es en chemin avec lui, de peur qu’il ne te livre au juge, que le juge ne te livre à l’officier de justice, et que tu ne sois mis en prison.» ~ Matthieu 5:25. Ce verset indique clairement qu’il ne faut pas perdre la main car quand on perd la main les décisions sont prises par d’autres (= maxime BibiCabaya) !

41 Faire les choses est une chose, les faire mal est autre chose, et les faire mal ne profite à personne. Cela décrédibilise et fragilise ceux qui sont engagés dans ce processus de libération. Faire n’importe quoi sous prétexte d’action est équivalent à brasser de l’air pour ne rien dire et à s’agiter dans tous les sens sans direction précise. C’est le propre des imbéciles (aucune offense à Marie — juste une vérité générale…).

42 Pour sûr que ça va «bouger» : bientôt Marie devra aller chercher un autre compte dans une autre banque… Que d’actions en vue !!!

43 Jim sait que Marie n’est pas prête (autrement, elle n’en serait pas là) mais il l’envoie au casse-pipe sans état d’âme…

44 Vraiment ? Sans états d’âme, vous dis-je !

45 L’art de le dire sans le dire. En gros, cela signifie «Je sais que tu vas te ramasser quelque chose sur ce coup-là — avec les mauvais conseils qu’on t’a donnés et que tu as mis en pratique sans comprendre ce que tu faisais, et qui font que tu en es là aujourd’hui… Mais je décline toute responsabilité dans ta situation car après tout, bien que je sache que tu n’y comprends rien et qu’on t’a lancée dans la mauvaise direction, tu as ton libre arbitre et c’est toi qui prends tes décisions. Donc, si tu te prends un coup de massue, comme je pense que ce sera bientôt le cas, il ne faudra pas venir pleurer dans mon giron… »

46 Quelle mauvaise foi ! Marie «décide» en fonction des conseils qu’elle reçoit de ces gens dangereux à qui elle a accordé sa confiance, à savoir Jim et Annie. Elle ne décide pas de façon éclairée : elle avance à tâtons dans un dédale sombre en suivant la voix des conseilleurs… Comme dit le proverbe : «les conseilleurs ne sont pas les payeurs»…

47 Si ce courrier avait été utile en premier lieu, Marie n’en serait pas arrivée là… Elle va probablement perdre son compte bancaire avec tous les emmerdements (quoique temporaires) que cela lui occasionnera (et dont il aurait été préférable qu’elle s’en passât !) — ce dont Jim, visiblement, n’a cure puisqu’il l’a déjà confortée dans le fait que c’est elle qui «décide»…

48 Ce sont précisément les «trucs» qui foutent les gens dans la merde parce que, par définition, un «truc» n’a pas de qualification… C’est synonyme de n’importe quoi, et quand on fait n’importe quoi, on a le résultat qui va avec, comme on le voit avec Marie.

49 Que peut bien «jauger» cette pauvre Marie dont les connaissances de base sont défaillantes ? Elle n’a pas compris ce que signifie «administrateur/trice de sa personne morale dans le cadre d’une relation contractuelle» (et nous entendons dans la vidéo que Jim et Annie la confortent dans cette incompréhension par leurs mauvais conseils) alors que c’est ce défaut de compréhension qui l’a mise dans la mouise. Si elle avait compris, elle lirait les courriers reçus de sa banque et poserait les actes appropriés.

50 Annie doit avoir suffisamment vécu pour savoir que ce type de gens (banquiers, assureurs, etc.) ne respectent pas les gens qui ne comprennent rien, en général, et ceux qui ne comprennent pas ce qu’ils font eux-mêmes, en particulier. Le monde est ainsi fait (je renvoie à ma traduction de l’article Comment la Cabale maintient son pouvoir et ce qu’on doit faire pour l’arrêter : dé-consentir qui explique très bien que l’une des trois raisons qui maintiennent la Cabale en place c’est notre incompétence…) Dans cet extrait de vidéo, je ne vois qu’incompétence à tous les niveaux, et j’interviens par cet article car cette incompétence rejaillit négativement sur tous les aspirants-souverains dans leur ensemble. En gros, quand tu ne connais ni ne maîtrises un «truc», ne cherche pas à enseigner ce «truc» à quiconque ni ne te lance dans ce «truc», sauf à accepter d’assumer les conséquences de ton incompétence…

51 La démarche souveraine n’a rien du «bluff» car ce n’est pas une partie de poker. Soit tu sais ce que tu fais, soit tu ne le sais pas. Si tu ne le sais pas, tu t’informes, tu recherches, tu testes sur toi-même plutôt que d’utiliser les autres en les envoyant au casse-pipe.

52 Si la banque ferme le compte, il est à prévoir qu’elle n’acceptera pas d’en ouvrir un autre car ce n’est pas le compte qui pose problème, c’est Marie !!

53 Vraiment ? Annie parle t-elle par expérience ou se laisse t-elle aller à des divagations qui boostent son ego ? La banque n’est pas en train de jouer… Pour Annie, vous l’avez remarqué, c’est un jeu : on fait des «coups», on utilise des «trucs», on «bluffe», on raconte n’importe quoi et on fait des promesses, comme sur le site de CLCFR, qu’on ne peut pas tenir… La banque a pris une décision et les chances sont qu’elle s’y tiendra. Je prends le pari que la partie est finie pour Marie dans cette banque.

54 L’argumentaire de la banque était dans la lettre recommandée que Marie n’a pas acceptée, et Annie ne connaît pas cet argumentaire et ne peut donc se prononcer dessus. Par son attitude, Annie se positionne dans la PRÉSOMPTION qu’elle prétend combattre. Elle présume que la banque n’a pas d’argumentaire. En outre, s’agissant des banques, il faut avoir épuisé leurs propres recours avant d’aller au tribunal, et cela passe par le service client et ensuite le médiateur de la banque (idem pour les assureurs).

55 Si la banque s’emploie à fermer le compte de Marie, c’est qu’elle a un argument qui sera soutenu dans un tribunal dans la mesure où les tribunaux sont «le bras armé» des banques. Et si elle ferme le compte, je doute qu’elle en ouvre un deuxième car le problème n’est pas le compte mais Marie et ses courriers farfelus… Mais je ne demande qu’à être surprise…

56 Malgré ses difficultés et son manque de connaissances, Marie fait preuve de bien plus de bon sens que ses conseilleurs… C’est exact, Marie, tu es grillée, et ces deux-là essaient de te faire croire que tu maîtrises la situation… C’est beau de te voir réagir.

57 Non, Marie, tu ne les «déranges» pas : tu les agaces ! Nuance…

58 La question est de savoir qui a gonflé son orgueil en lui faisant croire que ce serait un jeu d’enfant…

59 «Je vais voir avec Annie» signifie «je suis incapable d’agir par moi-même»… On devine la fin de l’histoire : maxime BibiCabaya !

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