
COUP DE THÉÂTRE : PFIZER IMPOSE AUX ETATS DES TRIBUNAUX PRIVÉS SECRETS OÙ IL SERA JUGÉ EN CAS DE LITIGE SUR LES VACCINS
Par Cheikh Dieng
Lecourrier-du-soir.com a appris, ce 17 janvier 2023, que Big Pharma (Pfizer, Moderna, AstraZeneca et consorts) ont fait pression sur Twitter pour censurer les activistes qui appelaient au partage des brevets avec le reste du monde. Notre média y reviendra dans ses prochaines éditions.
D’ici là, notre rédaction tient à rappeler une révélation faite en juillet 2022 par Citizen.org (organisation basée aux États-Unis) qui nous avait appris que Pfizer a imposé aux États des tribunaux privés secrets pour y être jugé en cas de litige sur son vaccin anti-Covid. Un scandale dont les médias de masse (pour des raisons que nous ignorons totalement) ne veulent pas parler.
Excellente lecture
«En cas de contentieux sur les vaccins, Pfizer impose que les États le poursuivent dans des tribunaux privés secrets (et non publics) dont les juges et le verdict sont totalement tenus secrets. Une des conditions que le géant pharmaceutique impose aux États au moment de signer des accords sur l’achat de ses doses de vaccins.» [1]
Pfizer, une nouvelle fois, sur la sellette. Deux jours seulement après la révélation faite par Lecourrier-du-soir.com sur les manœuvres secrètes de Pfizer pour faire taire les lanceurs d’alerte qui détiennent des informations compromettantes sur ses pratiques malsaines, notre rédaction vient, une nouvelle fois, d’obtenir de nouvelles informations sur le tout-puissant laboratoire américain qui, depuis l’arrivée de la pandémie à Coronavirus, ne cesse d’amasser des milliards de dollars dans des contrats souvent passés dans des conditions extrêmement opaques.
En effet, ces dernières heures, c’est par l’intermédiaire du média américain Washington Post que notre rédaction a appris l’existence d’un rapport mené par l’organisation Citizen.org qui révèle les méthodes totalitaires imposées par le géant pharmaceutique pour vendre ses vaccins.
Ainsi, d’après les informations obtenues par cette organisation, dans ses contrats signés avec les États, Pfizer dicte sa loi. Preuve à l’appui, Citizen.org accuse le laboratoire américain d’avoir muselé des gouvernements. Par exemple, dans le cas des contrats signés avec le Brésil, le gouvernement de ce pays avait reçu l’ordre de ne divulguer aucune information concernant les termes de l’accord.
Apparemment, le Brésil ne serait pas le seul pays à avoir subi la dictature du tout-puissant laboratoire américain. Car, d’après Citizen.org, les mêmes conditions de confidentialité ont aussi été imposées à l’Union Européenne et au gouvernement américain. «Dans ces cas, toutefois, l’obligation s’applique aux deux parties», note l’organisation.
Dans le cas des États-Unis, par exemple, le gouvernement américain a reçu l’ordre de n’émettre aucune déclaration publique sur l’existence du deal ou les termes de celui-ci. L’Union Européenne, quant à elle, a reçu l’ordre de ne pas divulguer le prix des doses de vaccins. En gros, la consigne est claire : toute information mise à la disposition du public doit, au préalable, obtenir l’accord de Pfizer.
Mais, le plus scandaleux dans cette révélation faite par Citizen.org réside dans le fait qu’en cas de litige, Pfizer ne peut pas être poursuivi par des tribunaux publics, mais plutôt privés. Ainsi, à en croire Citizen.org, il s’agit d’un «panel constitué de trois arbitres (juges, ndlr) privés imposé au gouvernement lors de la signature de l’accord».
Sur ce, Citizen.org précise : «le jugement (arbitrage) est mené selon les règles de l’arbitrage de la Chambre de Commerce Internationale [2] (CCI). Il est exigé aux deux parties de tout garder en secret». Parlant de l’arbitrage privé, l’organisation ne mâche pas ses mots : «l’arbitrage privé reflète un déséquilibre du pouvoir. Il permet aux géants pharmaceutiques tels que Pfizer de contourner les règles juridiques des États [3]. Ceci consolide le pouvoir corporatif [4] et piétine l’état de droit» [5].
Cette révélation, faite en octobre 2021, intervient au moment où les manœuvres de Pfizer pour faire taire les lanceurs d’alerte sont dévoilées au grand jour. En effet, dans un article paru en novembre dernier et lu par Lecourrier-du-soir.com, le journaliste d’investigation américain Lee Fang y fait une révélation de taille.
D’après ce dernier, Pfizer et d’autres géants pharmaceutiques américains exercent une forte pression depuis quelque temps pour faire tomber la loi dite False Claim Act [6], qui a vu le jour lors la Guerre Civile américaine et qui vise à récompenser les lanceurs d’alerte qui dévoilent la corruption et la fraude des grandes entreprises.
Déjà condamné à plusieurs reprises pour fraude, Pfizer compte liquider ladite loi. Pour cela, le géant pharmaceutique américain a déjà recruté de redoutables hommes politiques américains ainsi que des cabinets d’avocats afin de flinguer une loi qui lui donne du fil à retordre.
Source : Le Courrier du Soir https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-pfizer-impose-aux-etats-des-tribunaux-prives-secrets-ou-il-sera-juge-en-cas-de-litige-sur-les-vaccins/
Les Notes de BibiCabaya :
1 Les sociétés-États pourront utiliser, selon leurs contrats avec Pfizer, l’arbitrage de tribunaux privés. Toutefois, Nous Le Peuple Souverain, N’AVONS PAS DE CONTRAT AVEC PFIZER NI ALBERT BOURLA et ce dernier sera jugé dans nos tribunaux populaires et pendu pour ses crimes contre l’Humanité.
2 Ceci démontre clairement que et le laboratoire Pfizer et les «États» sont des entités commerciales privées qui appliquent le droit commercial international (UCC). Toutefois, le peuple peut agir en droit public (lois bibliques, Common Law) contre l’être VIVANT nommé Albert Bourla.
3 Erreur. Les «États» étant des sociétés commerciales privées, aucune règle n’est «contournée» dans de tels cas, sauf aux yeux de celui qui n’est pas informé de la situation juridique internationale (voir ma rubrique «Documents»). Tout ce qu’il se passe est parfaitement en règle selon le droit commercial international qui règle ses litiges par arbitrage pour le compte d’entités fictives = juridiques. Le PEUPLE doit faire intervenir le droit public (lois bibliques, Common Law) pour juger les criminels en tant qu’Hommes ou Femmes VIVANTS.
4 Nous sommes dans une coporatocratie (pouvoir des entreprises par les entreprises) qui se transforme visiblement en pouvoir terroriste coercitif des bureaucrates.
5 «L’État de droit» (souveraineté) basé sur le droit public est incompatible avec la corporatocratie (commerce) car il limite le pouvoir et les profits de cette dernière en respectant les droits des peuples... C’est pour cette raison que nous observons que l’État de droit est passé à la trappe depuis belle lurette.
6 Loi sur les fausses déclarations.
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