«OPÉRATION BRUME POURPRE» : MASSACRE ÉLECTRONIQUE AU RWANDA

OPÉRATION BRUME POURPRE : MASSACRE ÉLECTRONIQUE AU RWANDA

Ceci n’est qu’un exemple de la façon dont le contrôle mental peut être utilisé contre nous. Ils peuvent déclencher des émeutes, des guerres et de la haine entre nous même si nous ne le voulons pas. C’est le résultat horrible d’années de développement de ces armes silencieuses contre nous. Vérifiez-le vous-même en lisant cet article.

Par Joe Vialls

Le 6 avril 1994, en fin d’après-midi, une pluie d’obus a déchiré le fuselage d’un avion de ligne commercial survolant le centre du Rwanda. Quelques secondes plus tard, l’avion en flammes a explosé en s’écrasant au sol, tuant le président Habyarimana du Rwanda, le président Ntaryamira du Burundi et la plupart de leurs hauts responsables gouvernementaux. Dans cette fatale milliseconde de temps, toute la structure de commandement politique de l’Afrique centrale a été décapitée, laissant la voie libre à «l’Opération Brume Pourpre» [Opération Crimson Mist] : l’expérience terminale de contrôle de l’esprit la plus obscène jamais montée par les États-Unis d’Amérique contre une nation souveraine. Que «Brume Pourpre» ait été utilisé à nouveau récemment à plus petite échelle en Irak, ne fait plus aucun doute.

Alors que Habyarimana et ses collègues effectuaient leur plongée de la mort, un petit groupe d’hommes et de femmes américains se prélassait dans une grande hutte au bord d’une discrète piste d’atterrissage en gravier à quelques kilomètres de la capitale rwandaise Kigali, domicile temporaire de leurs trois avions de transport Hercule C-130 banalisés. Tous les membres d’équipage portaient de fausses informations d’identification les faisant passer pour des «chercheurs atmosphériques» employés par une authentique agence civile américaine, mais ceux-ci n’étaient destinés qu’à une identification d’urgence si l’un des avions était contraint d’atterrir à l’imprévu sur un territoire hostile. Pour des raisons pratiques de sécurité, ni eux ni leurs trois gros avions n’étaient même pas en Afrique.

Lorsque la nouvelle de l’accident présidentiel est parvenue par radio VHF, l’un des avions Hercule a été rapidement préparé pour le décollage. Le mécanicien de bord a vérifié la fixation des packs RATO [décollage assisté par fusée], tandis que les scientifiques effectuaient les derniers réglages sur une grande parabole à micro-ondes montée sur la rampe de chargement arrière de l’avion. C’est cet équipement étrange et ésotérique qui contribuera directement à la mort de plus d’un million de civils africains au cours des cent jours qui suivirent. Bien que son fonctionnement soit complètement silencieux, cette seule antenne parabolique à micro-ondes avait plus de potentiel de destruction qu’un escadron entier d’hélicoptères de combat Spectre AC-130 armés de cinquante canons Gatling.

Bien qu’officiellement étiqueté «expérimentation», aucun des gens présents ne doutait qu’il ne s’agissait que d’une couverture cosmétique pour le travail opérationnel macabre à venir. Chaque membre avait été soigneusement contrôlé, puis contrôlé à nouveau par le renseignement américain pour s’assurer qu’il avait le «bon profile» et était philosophiquement dévoué aux deux objectifs. Le premier était le besoin évolutif de contrôler ou d’éliminer la dissidence politique par des moyens à distance à l’approche du 21e siècle, et le deuxième était le besoin d’endiguer ou d’inverser les augmentations massives de la population à travers le monde, qui menaçaient de submerger les ressources naturelles existantes, en particulier l’eau et la nourriture. De manière intrinsèque, cela nécessitait une volonté de commettre un meurtre de masse, et tous les gens présents avaient passé ce test critique haut la main.

Alors que les moteurs de l’Hercule démarraient en rugissant, des agents américains à Kigali travaillaient aux côtés de fonctionnaires locaux et de membres des services de sécurité rwandais, renforçant les soupçons du public quant à un acte criminel dans l’accident d’avion présidentiel. Poussés par l’administration corrompue, les membres de la tribu Hutu ont commencé à marcher sur les membres de la tribu Tutsi et leur ont jeté quelques pierres. Gestes relativement innocents au départ bien qu’avec quelques vilaines coupures de machette ici et là. Puis, l’Hercule C-130 effectua une passe soigneusement calculée directement au-dessus des Hutus qui avançaient et ils sont soudainement devenus fous. Les yeux vitreux, l’humeur de la foule Hutue passa de la simple colère à une rage incontrôlable et, en quelques minutes, des centaines de parties de corps Tutsis volaient dans les airs.

Ce que l’équipage de l’Hercule venait de réaliser est un secret de polichinelle depuis la fin des années 50, lorsque des chercheurs ont accidentellement découvert qu’il existe une onde cérébrale de «contrôle» précise pour littéralement tout ce que nous faisons et pour tout ce que nous ressentons. Le problème à l’époque était que chacune de ces ondes cérébrales de contrôle [rage, peur, panique, léthargie, vomissements, etc.] devait être transmise avec une précision à trois décimales près, ou alors elles ne fonctionnaient tout simplement pas. Mais au fil des années et avec l’avènement des transistors et des microprocesseurs, l’application opérationnelle des ondes cérébrales de contrôle précis est devenue une réalité pratique.

Il est important de noter ici que l’astuce mortelle répétée des centaines de fois par l’Hercule C-130 au Rwanda en avril-juillet 1994 n’était pas du «contrôle de l’esprit classique» au sens ultime du terme, c’est-à-dire où les gens prétendent entendre des messages compliqués dans leur tête, ou lorsqu’il est à craindre que la NSA [ou toute agence similaire] a l’intention de transformer tout le monde en zombies impuissants en implantant des puces électroniques dans leurs bras ou leur cou. Ce à quoi l’équipage du C-130 était en fait engagé à faire était «d’augmenter électromagnétiquement» un état préexistant. Rappelez-vous que les agents et le personnel des services de sécurité devaient d’abord diriger les membres de la tribu Hutue en direction des Tutsis, puis induire des colère et s’assurer qu’ils étaient proprement armés. Ce n’est qu’alors que le C-130 pourrait se mettre au travail avec l’onde cérébrale de contrôle précis de la «rage», augmentant et améliorant ainsi le comportement de la foule de celui de manifestants en colère à celui de maniaques génocidaires incontrôlables. Bien que n’étant pas «classique», c’était et c’est incontestablement un contrôle de l’esprit pour la simple raison que des moyens externes étaient utilisés pour forcer un changement irrésistible de comportement.

Pour ceux qui veulent vraiment savoir comment les gouvernements ou les agences modifient le comportement du public sur un coup de tête, l’explication n’est pas trop compliquée bien qu’il soit pratiquement impossible d’obtenir des détails sur les fréquences cérébrales de contrôle classifiées. Divers universitaires ont en fait démontré certains de ces effets quasi publiquement au fil des ans, ce qui offre une dure réalité aux sceptiques.

L’une des sommités dans ce domaine est le Dr Elizabeth Rauscher-Bise qui était scientifique nucléaire et chercheuse au Lawrence Berkeley National Laboratory, et au Stanford Research Institute, professeur de physique à l’Université John F. Kennedy de Californie, consultante en recherche auprès de la NASA et de la Marine américaine, et membre des IEEE, APS, AAAS, MAA, ANA, AAMI. Elizabeth Rauscher-Bise a identifié des effets de fréquence spécifiques pour induire des nausées, du bonheur et de nombreux autres états comportementaux, il y a déjà des décennies. Décidément, le Dr Rauscher-Bise est une passionnée : « Donnez-moi l’argent et trois mois, se vante-t-elle, et je pourrai influer sur le comportement de 80 % des habitants de cette ville à leur insu. Rendez-les heureux — c’est du moins de qu’ils penseront — ou agressifs. »

Contrairement à de nombreux chercheurs dans ce domaine, Elizabeth Rauscher-Bise a tendance à être ouverte sur son travail et a démontré les effets à plusieurs reprises dans des forums quasi publics en prétendant n’expérimenter que sur des personnes parfaitement informées. Il y a plusieurs années, lors d’une manifestation mémorable en Californie, elle a envoyé une onde cérébrale spécifique à tous les étudiants du côté gauche de son auditorium ce qui leur a causé un claquement de dents collectif, et ceci de manière incontrôlable. Lorsque les étudiants non affectés du côté droit de l’auditorium ont suggéré que cela pourrait être une sorte de trucage, Elizabeth Rauscher-Bise a calmement tourné l’onde cérébrale spécifique vers eux. Le côté droit subit alors exactement le même sort, observé par les étudiants étourdis mais plus affectés du côté gauche.

Le principal problème réside dans la transmission de ces ondes cérébrales à la cible car elles se situent toutes dans le spectre extrêmement bas, entre [des cycles] de 0,1 et 25 Hertz, alors que toutes les ondes cérébrales de contrôle sont dans une bande centrale encore plus étroite comprise entre 0,6 et 10,2 Hertz. Ce sont effectivement les mêmes que les fréquences «terrestres», ce qui signifie qu’elles sont très difficiles à diriger via la transmission radio conventionnelle. N’oubliez pas que pour être efficace dans l’augmentation sélective du comportement des foules, vous devez être en mesure d’en limiter la livraison à des foules clairement définies dans des zones clairement définies. Ceci est réalisé en utilisant un faisceau de micro-ondes à très haute fréquence, qui est ensuite modulé en amplitude exactement au même rythme que l’onde cérébrale de contrôle souhaitée. C’est beaucoup plus facile à expliquer avec des images, alors regardez bien le schéma ci-dessous.

Les micro-ondes de la gamme 1,0 à 3,0 Gigahertz se déplacent en lignes parfaitement droites, comme la lumière, ce qui les rend faciles à contrôler en termes de direction et quelle que soit la puissance de sortie. Dans la plupart des cas, les micro-ondes sont transmises par une antenne parabolique du type que vous voyez fréquemment située en bas d’un grand mât émetteur de télévision. Ceux-ci sont conçus pour transférer des données électroniques à grand volume entre le studio de télévision et l’émetteur et vice versa. Là où les «contrôleurs de l’esprit» américains marquent des points avec leur équipement aéroporté et monté sur camion, c’est en utilisant des antennes micro-ondes qui peuvent être ajustées, exactement de la même manière que vous régleriez la mise au point sur une lampe de poche à faisceau variable. La façon dont cela est fait est illustrée dans le deuxième diagramme ci-dessous.

Dans l’exemple des membres de la tribu hutue rwandaise présenté au début de ce rapport, l’équipage de l’Hercule C-130 n’avait besoin de connaître que la largeur de la foule cible au sol et la largeur de son propre faisceau de micro-ondes à une altitude réelle en pieds [tels que lus directement sur l’altimètre radar]. Avec ces deux valeurs disponibles, il est alors simple d’ajuster la largeur du faisceau pour encadrer avec précision la foule cible à partir de n’importe quelle altitude choisie.

Mais cet équipement n’est pas seulement déployé dans les gros avions de transport Hercule. Au cours des dernières semaines, des experts européens en matière de sécurité ont conclu que des versions plus réduites de Brume Pourpre avaient récemment été déployées dans les rues de Bagdad, conçues en partie pour renforcer la ligne de propagande médiatique selon laquelle les citoyens irakiens sont de dangereux sauvages qui ont tous grandement besoin d’une supervision directe par les «autorités américaines démocratiques». Un exemple classique en est le «pillage» du musée de Bagdad, apparemment commis par une foule de canailles indisciplinées ; mais les séquences vidéo racontent une histoire très différente.

Pour réussir ce coup, les autorités américaines avaient besoin de rassembler une foule, assez facilement gérée par une promesse de nourriture gratuite. Alors elles devaient placer la foule à l’extérieur du musée, ce qui était, encore une fois, facile à faire puisqu’elles plaçaient la nourriture gratuite à l’extérieur du musée lui-même. Ensuite, l’attention de la foule devait être attirée sur le musée lui-même, ce qui fut réalisé de manière spectaculaire en tirant deux obus de 120 mm d’un canon de char Abrams directement à travers les portes principales.

Très bien jusqu’à présent, mais comment les faire entrer ? La vidéo montre deux militaires gesticulant vers la foule, les exhortant à entrer et à se servir, identifiant ainsi clairement la cible «à la rwandaise». Alors ça commence à devenir vraiment intéressant ! Les deux soldats se retirent rapidement, laissant les Irakiens debout sans chef devant les portes ouvertes, puis CLIC, tout comme en appuyant sur un interrupteur, toute la foule devient folle absolument simultanément, ce qui n’arrive jamais dans la vraie vie. Dans le monde réel, il y a toujours un leader qui exalte visiblement la foule et la prépare à l’action, mais pas devant le musée de Bagdad. Une seconde, ces gens sont des Irakiens affamés, la seconde suivante, ils deviennent instantanément des maniaques incontrôlables qui affluent par les portes du musée.

On soupçonne également que le même équipement a été utilisé pour augmenter les «attaques de pillage» contre divers hôpitaux du centre de Bagdad, bien que cette affirmation semble être basée autant sur la logique que sur des séquences vidéo. Ces soi-disant «pilleurs» sont des citoyens irakiens qui ont reçu des soins de santé essentiellement gratuits dans les hôpitaux sous Saddam Hussein. Non seulement cela, mais leurs femmes et leurs enfants sont bombardés et abattus par les Américains, ce qui signifie que leurs hôpitaux gratuits leur sont absolument essentiels, et donc des lieux même qu’ils défendraient normalement en premier lieu. En gardant cette logique à l’esprit, il semble probable que les experts européens en sécurité aient également raison dans cette affirmation.

Bien qu’il soit peu probable que l’Amérique, la Grande-Bretagne et l’Australie se préoccupent beaucoup du sort des Irakiens dans les rues de Bagdad, il est peut-être temps d’examiner ce qui est susceptible de se produire dans nos propres pays «démocratiques» si les choses échappent davantage au contrôle qu’elles ne le font actuellement. Rappelez-vous que la manifestation de 2,2 millions de gens à Londres, juste avant l’invasion illégale de l’Irak, n’avait rien à voir avec le fait que les Anglais aiment Saddam Hussein. L’Irak n’était qu’une excuse pour cette masse sans précédent d’êtres humains de migrer vers Londres en agitant des banderoles qui exprimaient principalement « Pas en notre nom » aux politiciens corrompus.

En fin de compte, la prochaine fois que 2,2 millions de citoyens britanniques descendront dans la capitale pour s’en prendre aux politiciens [leurs véritables cibles], ils pourraient porter quelque chose de bien plus dangereux que des banderoles. Chaque policier et militaire sait très bien qu’une masse de 2,2 millions de gens ayant une intention hostile ne peut tout simplement pas être arrêtée par les techniques anti-émeute standard, et ils ne peuvent pas être arrêtés par des balles tirées par des soldats dans les rues. Même si les soldats britanniques pouvaient être persuadés d’ouvrir le feu sur leurs propres voisins [très peu probable], l’armée entière serait impuissante à agir. Alors quoi faire ?

Outre-Atlantique en Amérique et en Australie, ça ne va vraiment pas mieux. Au moment où j’écris, le dollar américain se dirige droit vers les sous-sols, ce qui à son tour conduira à une dépression et à une colère accrue de la part de tous les Américains, visant en grande partie les politiciens corrompus de Capitol Hill. Naturellement, les politiciens essaieront de rabaisser les gens comme d’habitude, mais si cette fois c’était un pas trop loin. ? Que se passerait-il si quelques centaines ou quelques milliers des 260 millions d’armes privées aux mains des Américains sont utilisées ?

Il y a de fortes chances que dans tous les pays occidentaux touchés, les politiciens et leurs véritables maîtres essaient d’invoquer l’utilisation d’armes hautement non conventionnelles afin d’essayer de sauver leurs propres peaux sans valeur. Le succès qu’ils pourraient avoir le jour venu, ce jour viendra à n’en pas douter, dépend en grande partie de vous.

Traduit de l’anglais par BibiCabaya (13 juillet 2022)

Partagé par Auricmedia https://www.auricmedia.net/operation-crimson-mist-electronic-slaughter-in-rwanda/

Source : Joe Vialls, Copyright Joe Vialls, publié le 29 Mai 2003, titre original : Contrôle mental américain à Bagdad. Les espions utilisent une technologie «prouvée» sur un million d’Africains massacrés http://www.whale.to/b/vialls4.html

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LES NOTES DE BIBICABAYA :

J’avais abordé ce sujet du génocide orchestré par ondes de fréquences dans mes articles intitulés Orphan trains et Génocide rwandais : où sont les enfants ?? C’est en écoutant Leuren Moret en 2014/2015 que j’ai appris que ce genre de technologie avait, en fait, déjà été utilisé en Afrique du Sud dans une banlieue huppée de Johannesbourg et que, suite au massacre ainsi perpétré, des «équipes de nettoyage» étaient passées pour évacuer les cadavres et remettre tout en ordre comme si rien ne s’était passé. Cela devait sûrement être un «essai» pour voir comment fonctionne cette technologie «sur le terrain». On apprend aussi que les banques ont joué un rôle dans ce massacre puisque les avoirs, y compris ceux qui se trouvaient dans les coffres des particuliers loués auprès des banques, avaient été vidés ; ce qui signifie que les héritiers de ces gens assassinés qui, pour certains d’entre eux, n’étaient pas sur place au moment des faits et qui sont donc restés en vie, n’ont rien pu récupérer, et il faut croire qu’on leur a raconté une belle histoire sur la soudaine disparition de tout un quartier !!! En effet, Lauren Moret nous dit que cela n’a duré que quelques heures (environ deux heures pendant lesquelles des familles paisibles et unies se sont soudain retournées contre leurs propres membres et se sont assassinées mutuellement…). Une fois tout le monde mort, les auteurs de ces crimes ont arrêté d’envoyer les ondes mortelles de façon à permettre aux «équipes de nettoyage» de faire leur boulot. Puis, il y eut le génocide du Rwanda…

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