EXTORSION : AVIS DE PAIEMENT
En allant faire un tour sur VK où j’ai un nouveau compte, j’ai constaté que des tas de «souverains» ont des problèmes d’amendes et de demandes diverses de paiement par des pseudo «institutions» (qui sont en réalité des entreprises privées qui participent au racket des gens du quotidien), et se retrouvent devant les juges ou font l’objet de saisie, etc.
De 2014 à 2016 sur ce blog (voir ce qu’il reste dans les archives), j’ai donné la marche à suivre pour faire face à ce genre de demande, y compris agences de recouvrement, avocats, etc. Dans ma propre expérience, cela a marché avec un avocat que j’ai gentiment renvoyé dans ces buts en 2016 en lui demandant le contrat entre lui et moi lui permettant de chercher à m’imposer ses exigences. Je n’ai plus entendu parler de lui… Que ce soit la police, les juges ou greffiers, les procureurs, le Ministère Public, etc. qui exposent leurs «exigences», vous avez la possibilité de parer leurs coups en répondant à leurs demandes par une acceptation conditionnelle.
Il se trouve que j’ai publié sur ce blog divers documents qui expliquent les tenants et aboutissants de la Grande Fraude et montre clairement comment procéder. Rendez-vous sur ma rubrique «DOCUMENTS» pour télécharger ce qu’il vous faut.
Autre chose, et je fais un petit clin d’œil à un Xavier [1] qui m’a sollicitée très récemment sur VK : il faut bien comprendre [2] que la Matrice opère dans la juridiction maritime (= commerce) [3], par conséquent, et comme je l’ai expliqué dans le document ALICE & FREE BABA, il est totalement inutile et contre-productif de se la ramener avec des arguments «souverains» du style «mes droits», «ma liberté», «vous n’avez pas autorité sur moi», «je suis souverain/souveraine», «DDHC/DUDH», «Constitution», etc. Cela ne vous mènera que dans l’impasse, comme cela a été le cas pour Alice, et vous vous acculerez vous-mêmes !
Dans son livre Anarchie… n’est pas qu’un juron, Veronica Chapman montre, entre autres sujets, comment traiter les avis de paiement et autres extorsions qui arrivent dans votre boîte aux lettres et qui sont un racket organisé. Comme il s’agit de sociétés privées qui ont un numéro de TVA, ou d’agences qui relèvent des premières, vous devez exiger une facture valide montrant le numéro et le montant de TVA. Cette facture doit également faire état du service ou du bien qui est échangé contre la somme demandée et doit contenir tous les détails exigés par les règles statutaires s’agissant des factures et de la TVA. Je vous conseille donc de vous renseigner sur le sujet.
Quand vous recevez ce genre de demande (hors contrat), il y a donc une de deux choses que vous pouvez exiger dans votre acceptation conditionnelle :
1. soit une copie conforme du contrat conclu entre [NOM DE L’ORGANISME DEMANDEUR] et [VOTRE PERSONNE JURIDIQUE] ;
2. soit une facture valide et détaillée montrant la TVA.
Ou les deux !
En traitant ce type de demande de cette manière, vous empêcherez le système judiciaire de s’en mêler, ce qui signifie que l’agence en question ne pourra pas vous poursuivre, d’une part, et le demandeur sera mis dans l’embarras et l’impossibilité d’insister, d’autre part.
Mise à jour : ceci est valable pour tout ce qu’on vous demande de payer sans un contrat valide signé de votre main, ce qui comprend la taxe d’habitation, la taxe foncière… et tout genre de racket qui arrive dans votre boîte aux lettres en tant qu’ «avis de paiement», un «avis» étant une information donnée et non une facture ! [Fin de la mise à jour]
Les «souverains» ont beau répéter leur refrain de «la fraude au nom légal… bla bla bla…», chaque fois qu’ils reçoivent un courrier, nombre d’entre eux ne calculent pas que ce courrier ne leur est pas adressé à eux, les Hommes et Femmes VIVANTS, mais à leur personnes précisément (même si des minuscules sont utilisées dans le nom). Donc, leurs réponse comprenant des «je suis souverain», «je suis libre» ainsi que toute dissertation sur le sujet de la souveraineté en général est totalement à côté de la plaque.
Une fois pour toutes : votre personne est en contrat avec la Matrice [4] qui l’a créée, c’est la raison pour laquelle cette dernière a des exigences à son endroit. Ce n’est pas à vous, l’être vivant, qu’elle s’adresse car elle ne peut traiter avec le VIVANT. Donc, si c’est à votre personne que s’adresse la Matrice, cela signifie que votre personne est en commerce avec elle, quoique sur une base frauduleuse. C’est donc sur une base commerciale que vous devez réagir. Uniquement. Toute autre option vous mettra dans la mouise… C’est ce qui arrive régulièrement, et j’en suis toujours médusée !
Il faut vraiment cesser de mélanger les juridictions car les «souverains» passent pour de vrais cons doublés d’ignares — ce qu’on leur reproche, d’ailleurs… et c’est l’impression qu’ils donnent. En tout cas, de mon point de vue, ils passent pour ce qu’ils sont : des gens qui n’ont pas maîtrisé le sujet mais qui pensent pouvoir mater le système en se faisant mousser sur internet parce qu’ils ont lu un ou deux trucs sur la fraude du système ! Alors, il est peut-être temps de se mettre au travail… sérieusement !
NOTES :
1 Comme Alice, cet aspirant souverain mélange les juridictions et remplit ses écrits de propos inutiles et préjudiciables qui ne lui sont d’aucun secours. Les «souverains» sont tellement épris de leur soudaine liberté qu’ils cherchent à la crier au monde entier, alors que de tels propos sont inaudibles dans la Matrice…
2 Tristement, c’est loin d’être le cas ! Et ceci parce que les efforts n’ont pas été faits : recherche, apprentissage, compréhension…
3 Je l’ai dit et répété : en commerce il n’y a pas de souveraineté, il n’y a que des contrats.
4 Il s’agit, comme on l’a vu dans l’affaire Alice-Free Baba, de contrats frauduleux et de présomptions. Toutefois, tant que la présomption N’EST PAS réfutée, le contrat reste en vigueur.
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