
PRISON FERME POUR ALICE DE ¿POUQUOI PAS? ET CONFISCATION DU VÉHICULE
Je viens de tomber sur cette information alors que je visionnais la dernière vidéo d’Alice (celle qui a dit de moi : «la folle qui veut pendre tout le monde»…). Je me demandais ce qu’elle devenait depuis que son projet d’achat de 200 ha de terrain pour One Nation est tombé à l’eau.
À la lecture de cette lettre (Dieu merci, c’est elle-même qui la lit et pas moi !), on comprend tout de suite que ceci n’est pas la réponse adaptée à une assignation. En France, comme aux États-Unis et dans le reste du monde, les juges opèrent dans la juridiction maritime = mer = commerce = UCC et tous ses équivalents internationaux (dans la mesure où ce système est commercial et privé) et non dans la juridiction de l’air (LOIS SPIRITUELLES).
Le problème quasiment insoluble d’Alice c’est qu’elle possède un «véhicule» [terme commercial] qui a été enregistré au nom de sa personne juridique, MME MARTIN-PASCUAL ALICE (je présume). Et même si elle a tenté, par le passé, de faire passer la propriété du véhicule à son être vivant, le fait est qu’une fois que le «véhicule» est enregistré, c’est la société République Française Présidence qui en devient le détenteur de plein droit… Donc, un «véhicule» n’est PAS une voiture privée, comme se le figure Alice, mais un véhicule commercial [tout ce qui est enregistré au nom de l’entité juridique est commercial]. À ce titre, Alice a l’obligation sous peine de confiscation du «véhicule» de se plier aux exigences du véritable propriétaire du bien. Elle ne l’a pas fait car elle pensait être ce propriétaire. Elle n’a pas réalisé que, dans ce cas de figure, elle n’a que des obligations… [droit des obligations].
Je base cet article sur ce que j’ai pu glaner, ici et là, dans ses vidéos (j’en ai visionné quelques unes ces dernières années, mais je ne la suis pas régulièrement). Je ne connais pas la teneur des documents qu’elle a élaborés pour se croire propriétaire de «Free Baba» (c’est le nom du camion qui lui sert de lieu de vie pour elle et ses deux enfants de moins de 10 ans) qu’elle a sans doute payé de sa poche, c’est-à-dire avec son énergie vitale et son temps de vie.
C’est ce qui nous arrive à tous : nous payons pour des biens et pensons en être propriétaires (propriétés foncières, voitures, commerces, bijoux, placements, etc.) mais le propriétaire est la société commerciale République Française Présidence car tous ces biens sont acquis au NOM de l’entité juridique fictive de chacun [M. DUPONT JEAN, MME DURAND JEANNE] qui est la propriété intellectuelle de cette société… qui peut donc nous les confisquer, c’est-à-dire reprendre son bien… Voir à la page «Monde réel vs monde juridique» le document intitulé «Je suis conscient du monde réel».
Il est IMPOSSIBLE aujourd’hui d’acquérir la plupart des biens, particulièrement des voitures et des propriétés foncières, au nom de son être vivant (c’est-à-dire en propriété allodiale). Par exemple, si vous allez chez le concessionnaire auto et lui dites : « Bonjour, je désire vous acheter cette voiture-ci ; mettez-là au nom de Essence Absolue Incarnée / Je Suis, fille de Serge et de Sylvestre… », vous pourrez toujours courir ; il ne l’enregistrera qu’au nom de l’entité fictive mentionnée sur les «papiers d’identité», qui ne sont pas les vôtres : ce sont des documents FRAUDULEUX car ils comportent votre photographie en relation avec le nom d’une entité commerciale qui n’est pas vous.
Le système est ainsi fait : nous sommes les moutons à tondre. Toute notre énergie et nos ressources vont dans les mains de la Cabale au moyen de stratagèmes éprouvés et incontournables au sein de la Matrice. Et ceci se fait au moyen de la «personnalité juridique» lors de l’enregistrement de tout ce que nous achetons ou de l’obtention de factures au nom de l’entité juridique fictive.
Il va de soi, et vous l’avez compris, que nous sommes engagés dans des contrats frauduleux (puisque non divulgués, et que souvent nous ignorons). Pour contourner ces contrats frauduleux, il faut impérativement remettre en question la présomption d’obligation. Il se trouve que je viens de mettre en ligne, il y a quelques jours, la traduction d’un texte intitulé «Preuve de réclamation : votre principale défense contre la cupidité et la corruption du gouvernement». En effet, la réfutation ne se fait pas en écrivant des lettres d’amour aux juges. Et j’insiste sur le fait que la Matrice ne comprend pas le langage d’amour ni les actions d’amour car cela ne fait pas partie de son mode de fonctionnement ni de ses règles. Si c’était le cas, il n’y aurait pas des centaines de milliers de SDF dans les rues, des guerres et des destructions tous azimuts, le covid et ses vaccins qui tuent, etc. Cette Matrice est peuplée principalement de démons qui, de par leur nature, n’ont pas la capacité d’amour et d’empathie, ni de conscience, et ne peuvent donc être amadoués ni raisonnés. C’est l’erreur qu’a commise Alice : les juges et les personnels du système judiciaire ont des règles qu’ils doivent suivre et les envolées lyriques d’amour universel ne font pas partie de l’équation. L’équation est strictement commerciale : soit il y a un contrat valide qui oblige à l’exécution, soit il n’y en a pas.
J’espère qu’Alice se remettra de cette expérience malheureuse et douloureuse et qu’à l’avenir elle s’appliquera à ne plus confondre les juridictions, car comme je l’ai déjà mentionné sur ce blog : on ne peut pas se défendre dans une juridiction donnée en invoquant une autre juridiction.
Je n’ai commenté que sur la confiscation du véhicule et non sur la peine d’emprisonnement prononcée contre Alice car il m’apparaît évident que si une telle sanction a été prononcée contre elle (en réalité contre sa personne juridique, mais c’est elle, la femme vivante, qui ira au trou…) c’est qu’elle a dû, à un moment ou à un autre, CONSENTIR à quelque chose — même sans s’en rendre compte. En effet, toute discussion des faits, toute demande d’éclaircissement, etc. est un CONSENTEMENT. C’est pour cette raison qu’il ne faut jamais discuter avec ces gens. Il ne faut jamais aller dans leurs locaux pour quoi que ce soit. Le type de lettre d’amour d’Alice peut tout à fait être pris pour un consentement dans la mesure où elle ne conteste pas la présomption d’obligation. LA SEULE CHOSE À EXIGER EN CAS DE CONTACT EST LA PREUVE DE RÉCLAMATION. Tout le reste est superflu ET DANGEREUX.
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