PORT DU MASQUE : LECLERC PRATIQUE LA DOUBLE PEINE

LECLERC

Ceci est une petite anecdote au sujet de la mise en application du port «obligatoire» du masque chez LECLERC…

Lundi dernier (20 juillet), je suis allée faire quelques courses chez LECLERC d’Orly (c’est tout près de Choisy-le-Roi, dans le Val de Marne, pour ceux qui ne connaissent pas). Je n’aime pas trop faire mes courses chez LECLERC car je les trouve trop tatillons quant à la soi-disant «lutte contre le terrorisme». En effet, les vigiles de l’entrée exigent de voir l’intérieur de votre sac à main. L’intérieur de mon sac à main fait partie de ma vie privée et ne concerne personne que moi. Je n’aime pas montrer l’intérieur de mon sac et refuse généralement de le faire. C’est d’ailleurs pour cette raison que je mets mon sac à main dans mon caddie personnel, de sorte que je n’aie à ouvrir que le caddie – ça marche !

Donc, lundi dernier, j’arrive au magasin LECLERC. Le vigile me demande d’ouvrir mon caddie (je n’ouvre jamais mon caddie si on ne me le demande pas, c’est arrivé…), il voit mon sac à main au fond du caddie et me laisse entrer. Il a bien remarqué que je ne porte pas du tout de masque et je m’attends à ce qu’il me fasse une réflexion, mais rien…

Donc, j’ai déjà été admise à entrer dans le centre commercial sans masque… Puis, je suis admise à entrer dans le magasin sans masque alors que le port du masque à l’intérieur de lieux clos est, paraît-il, «obligatoire». Je suis autorisée à déambuler dans les allées du magasin à la recherche des articles désirés toujours sans masque. Et je suis finalement autorisée à faire la queue pour arriver à la caisse toujours SANS MASQUE. Je rappelle qu’il y a des caméras dans toutes les grandes surfaces et que ma présence non masquée dans le magasin n’a échappé à personne, et j’en suis consciente.

Puis, c’est mon tour de déposer mes articles sur le tapis roulant de la caisse. Il y a encore une dame devant moi, qui ne s’est pas du tout offusquée de mon non port du masque. Personne, jusqu’ici – clients ou autres – ne m’a interpellée au sujet du non port du masque. Mais quand la dame a terminé de payer et d’emballer ses courses et que la caissière s’apprête à scanner mes articles, un vigile grand comme une montagne sort de nulle part pour me faire remarquer :

― «Madame, le masque est obligatoire». Ma réponse :

― «Je sais, mais je n’en porte pas.» Il répète :

― «C’est obligatoire». Je répète à mon tour :

― «Je sais que c’est supposément obligatoire, mais je n’en porte pas.»

Le gars est gros comme une montagne, mais ce n’est pas un con : il a parfaitement compris que je n’ai aucune intention de porter le masque, autrement, je me serais déjà confondue en excuses, ce qui n’a pas été le cas. Cela ne lui a pas échappé qu’il s’agit d’un choix de ma part de ne pas porter le masque… et là dessus, il me déclare de façon péremptoire :

― «Pas de masque, pas de caisse !»

Je suis assez surprise de cette tactique à laquelle je ne m’attendais pas car il s’agit là d’un non sens commercial absolu dont je ne suis pas sûre que le directeur général de LECLERC l’aurait approuvé, mais je me dis que les gens sont prêts à tout pour vous faire obtempérer, y compris vous menacer… Je ne bronche pas d’un iota sur ma position et lui réponds :

― «J’ai l’intention de payer pour mes courses et, d’ailleurs, c’est ce qui paie votre salaire et celui de la caissière, masque ou pas !»

Mais il insiste, se rapproche de la caissière (côté client) et lui dit :

― «Tu n’encaisses pas !»

La caissière semble très embêtée. Peut-être premièrement parce que cela lui donne du travail supplémentaire à mettre tous ces articles de côté, mais aussi parce qu’elle a pu déceler le non sens commercial dans cette décision. Le vigile enlève à son employeur une opportunité d’encaisser l’argent du client et, dans un deuxième temps peut-être ira-t-il demander une augmentation de salaire… Ceci étant dit, c’est peut-être aussi la politique du magasin, mais c’est étrange tout de même. Personnellement, je n’y crois pas ; les entreprises ne chassent pas les clients à coups pied sous prétexte qu’ils ne portent pas de masque, elles acceptent leur fric car elles paient de la publicité dispendieuse pour avoir ce fric !! Mais cela n’influence pas le vigile. Donc, je dis à la caissière :

― «Encaissez, SVP»

Il m’apparaissait évident qu’elle aurait souhaité encaisser mes articles et qu’on en finisse. Elle ne semblait pas être du même avis que le vigile et a même tenté brièvement de le faire revenir à la raison en émettant que ce qui semblait être une objection. Mais le bonhomme a répété :

― «Tu n’encaisses pas !», et pour ne pas perdre la face dans cette situation ubuesque, il appelle un de ses collègues qui, après avoir entendu de quoi il en retourne de la part du vigile, me déclare à son tour :

― «Madame, pas de masque, pas de caisse !» Alors, je leur ai dit :

― «Très bien, vous gardez tout ; foutez-vous-le au cul !» et je m’en vais sans avoir pu payer mes courses et évidemment sans les courses.

Le vigile ne le sait pas mais j’avais un masque dans ma poche. J’en ai toujours un au cas où il m’est indispensable d’accéder à un service incontournable (on ne sait jamais) auquel je n’aurais accès qu’en portant le masque. Mais, ce n’est pas le cas de LECLERC car d’autres magasins plus flexibles, il y en a !! Après tout ce qu’ils vendent c’est de la bouffe et quelques bricoles, rien d’indispensable que l’on ne pourrait pas se procurer ailleurs !! Quand il s’agit de faire des courses dans un magasin, j’estime qu’il ne faut pas emmerder le client pour un masque.

Ce que je pense aussi s’agissant de LECLERC et de cet incident, c’est que j’avais déjà été «repérée» dès mon arrivée puisque, précisément, je ne portais pas le masque en arrivant et que ces gens ont voulu m’enseigner «une bonne leçon» en me laissant entrer pour faire l’expérience de cette surprise ― qui est, en fait, un préjudice puisqu’ils m’ont fait perdre mon temps (mon temps est ma propriété pas la leur). Donc, ils m’ont laissé entrer sans masque dans le magasin, ils m’ont laissé choisir mes articles pour, en fin de compte, m’interdire de payer les courses après que j’aie fait la queue à la caisse. J’aurais pu mettre le masque pour payer mes courses, mais je ne suis pas sous l’autorité de ce vigile ni de LECLERC, et j’estime qu’ils n’ont pas le droit de m’imposer un masque ; la police est là pour ça (si elle y arrive, bien sûr… ). Le rôle de LECLERC c’est de vendre sa camelote, pas de faire chier le client.

La preuve, c’est qu’aujourd’hui, je suis allée faire ces mêmes courses à CARREFOUR sans le masque, et j’ai pu entrer dans le centre commercial comme dans le magasin, choisir mes articles et payer mes courses sans qu’un vigile sans aucun sens commercial vienne jouer les gros bras avec moi. Au moins, à CARREFOUR, ils gardent le sens des affaires. Chez LECLERC, c’est une bande de connards. Même les autres caissières de LECLERC que j’ai aperçues en partant l’autre jour semblaient étonnées de cette interdiction de payer qui s’est abattue sur moi. Elles semblaient ne pas en revenir ; c’était peut-être une première…

Ma décision est très simple, bien que je fréquence LECLERC d’Orly depuis des années, maintenant je les boycotte. Ils ne verront plus ma gueule ni mon fric. Ce n’est pas à eux de m’imposer le port du masque. Si je ne porte pas le masque, ce qu’ils peuvent faire c’est de m’interdire d’entrer de leur magasin ou d’appeler les flics, mais pas de me laisser entrer pour plus tard m’empêcher de payer mes courses. Nous avons déjà la menace de sanctions pécuniaires par PV de €135 pour «non port obligatoire du masque» et LECLERC ajoute une deuxième sanction : pas de paiement en caisse !!!

QU’ILS AILLENT SE FAIRE ENCULER !

(et ce n’est pas mon directeur de publication qui le dit… 😄😄😄)

BOYCOTTEZ-LES !

BIENTÔT ILS EXIGERONT DE VOUS VACCINER À L’ENTRÉE…

Ce matin, de retour de faire mes courses de Carrefour, je me trouvais sur le bus avec le masque sous le menton (je choisis d’opérer de cette manière sur les transports publics car certaines personnes du public se sont déjà montrées agressives à mon égard sur les transports : les gens ont peur car on leur a inculqué la peur d’un virus nommé Corona… la télé a joué ce rôle. Le masque sous le mention est plus acceptable pour eux que pas de masque du tout car ils peuvent penser que je viens de le baisser). Un contrôleur m’a gentiment fait remarquer que le masque doit se porter sur le nez et la bouche et pas sous le menton. Je lui ai demandé s’il me cherchait querelle. Il a répondu que non mais a continué ses remarques…

Je lui ai donc dit que j’ai des droits naturels et imprescriptibles et lui ai demandé s’il savait ce que voulait dire «droits imprescriptibles». Il m’en a donné la définition, alors j’ai continué en lui disant que je réserve mes droits et lui ai demandé s’il savait ce que signifie «réserver ses droits». Il a séché… Donc, je lui ai expliqué que réserver ses droits signifie qu’on ne les abandonne pas, aucun d’entre eux. Puis, j’ai ajouté que j’ai le droit naturel et imprescriptible de RESPIRER CORRECTEMENT, ce que je ne peux faire avec ce masque sur mon visage, et j’ai souligné que mon droit de respirer est un droit ABSOLU. Il a compris. Mais il a tenté de me servir sa soupe de chantage à l’émotion et à la culpabilité du style «oui, mais pour les autres sur ce bus, ils risquent la contagion à cause de vous, bla bla bla.» J’ai dit que je ne suis une menace pour personne car les gens qui ne sont pas malades et qui sont asymptomatiques ne peuvent pas transmettre de virus. Le bus s’est arrêté et le gars est descendu mais dans le processus il s’est senti autorisé à m’insulter du genre «…tout ce tissu de stupidités». Voilà ce qui arrive quand vous protégez vos droits sur le bus, vous devenez quelqu’un de «stupide» aux yeux de certains contrôleurs de la RATP…

Il y avait d’autres contrôleurs sur le bus, dont un qui est venu près de moi pour autre chose et qui a bien vu que je ne porte pas de masque, mais cela ne l’a pas intéressé particulièrement. J’ai appris, quand le contrôleur est descendu, que la police était plus bas sur la même voie. Peut-être pensaient-ils que j’aurais affaire à elle. Cela aurait pu être le cas, mais je suis descendue avant de l’avoir vue. Ce que je dis aux contrôleurs de la RATP et de la SNCF (il y a aussi eu un incident sur le train, qui s’est très bien passé, il y a une semaine), je le dirai aussi à la police. Mes droits sont AU-DESSUS des «lois et règlements» surtout s’agissant du droit de respirer. Personne, ni même «l’État», ne peut vous acculer à une situation qui met votre santé et votre vie en danger. Moi, je le refuse. JE N’Y CONSENS PAS.

Alors, évidemment que je ne consens pas à porter un masque qui m’empêche de respirer correctement, mais je ne consens pas NON PLUS à obtempérer à une injonction qui n’a pour but que de nous duper dans le but de nous imposer une vaccination soi-disant «obligatoire» dont l’objectif ne sert que des intérêts privés tout en cherchant à exterminer une grande partie de la population et à nous pucer pour mieux nous contrôler. Je ne l’accepte pas.

*

*

*

*

*

*