Cette vidéo met en évidence les preuves de la corruption du Réseau Vaccinal britannique par la Fondation Bill et Melinda Gates, acheteur d’influence. 32 membres du comité des vaccins ont reçu plus de 200 000 000 £ de subventions de cette Fondation.
Covid-19: Bill Gates and the UK Vaccine Network Scandal [Covid-19 : Bill Gates et le scandale du réseau vaccinal britannique]
Vidéo publiée par Zed Phoenix, le 20 avril 2020 (effacée) Human Rights : https://odysee.com/@HumanRights:4/Covid-19—Bill-Gates-and-the-UK-Vaccine-Network-Scandal-KkzDQAeKcIU:b , le 24 avril 2020.
Par The Insider
Le scandale impliquant le gouvernement britannique et la Fondation Bill et Melinda Gates prend une tournure encore plus sinistre dans les ténèbres de la corruption, du racket et des crimes contre l’Humanité avec l’annonce du réseau vaccinal britannique.
Le Réseau Vaccinal britannique semble, à première vue, réunir l’industrie, le monde universitaire et les organismes de financement concernés au sein d’un groupe impartial afin de discuter de la voie à suivre pour développer un vaccin contre le virus du Covid-19. Mais la triste vérité est que le Réseau Vaccinal britannique ne semble être rien d’autre qu’un écran de fumée créé par la Fondation Bill et Melinda Gates, l’OMS, GlaxoSmithKline (GSK) et le gouvernement britannique pour donner le feu vert à un accord qui a déjà été conclu à huis clos.
En examinant la liste des membres impliqués dans le Réseau Vaccinal britannique, il est clair que le groupe n’a pour mission que de cocher des cases visant à permettre au gouvernement de dire qu’il y a eu une procédure régulière dans la sélection de GlaxoSmithKline et de la Fondation Gates ou de l’une des organisations, institutions ou entreprises affiliées à Gates pour produire le vaccin, comme Mologic qui produit le test covid-19.
Bill Gates et son partenaire GlaxoSmithKline sont en affaires depuis un certain temps et Emma Walmsley, la PDG de GlaxoSmithKline, siège au conseil d’administration de Microsoft – apparemment à côté de Bill Gates… Libre à vous d’interpréter cette information.
Bill Gates a crée La Fondation Bill et Melinda Gates et agit comme philanthrope en donnant de l’argent d’une main, mais en récoltant ensuite, de l’autre main, des bénéfices par le biais de Microsoft et de ses autres sociétés telles que Mologic qui est responsable de la production du test Covid-19 que Gates finance et soutient. La raison pour laquelle les gens n’ont pas été testés pour le Covid-19 n’est pas parce qu’un test n’est pas disponible mais parce qu’il est fourni par une entreprise, Mologic, à laquelle le ministère de la Santé et des Affaires sociales a accordé une subvention de 500 000 £ pour aider à le créer. L’entreprise était déjà financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Le Premier ministre, Boris Johnson, lui a rendu visite le 06 mars 2020.
Pour tout dire, le kit de test coûtera environ au service de Santé britannique entre 225 à 250 £ et Chris Whitty, médecin en chef et ancien président de GlaxoSmithKline, le professeur Patrick Vallance, maintenant conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique, ont déjà déclaré qu’il voulaient que tout le monde dans le pays soit testé. Cela signifie qu’avec une population de 65 millions d’habitants, Mologic, une entreprise financée par la Fondation Bill et Melinda Gates, devrait percevoir plus de 13 milliards de livres sterling rien qu’avec le test.
Commencez-vous à comprendre ?
Ainsi, au cours de la dernière décennie, Bill Gates a réussi à s’infiltrer au sein des institutions scientifiques grâce à son argent et les a achetées une à une en distribuant plus d’un milliard de livres sterling de subventions aux scientifiques pour financer leurs projets.
En surface, il semblait que le multimilliardaire Bill Gates soit philanthrope avec sa fortune ; rien n’est plus éloigné de la vérité. La philanthropie à la Bill Gates a toujours consisté à acheter des gens, de l’influence et des organisations, que ce soient l’Organisation mondiale de la Santé ou Chris Whitty, le médecin-chef du gouvernement qui est sur le point d’être nommé au conseil d’administration de l’OMS en mai 2020, afin d’imposer le projet de loi Gates à travers le Royaume-Uni. Bill Gates a acheté les scientifiques aussi bien de prestigieuses universités et institutions que de laboratoires privés à travers le pays qui se sont bousculés pour obtenir son argent comme des porcelets tétant leur mère.
La philanthropie n’est pas philanthropique lorsque vous en tirez un avantage économique ; cela s’appelle un investissement. Au fil des ans, Bill Gates a investi plus d’un milliard de livres en accordant des subventions et en finançant des projets scientifiques afin de prendre le contrôle de l’industrie des vaccins au Royaume-Uni. Ce que Bill Gates a fait par le biais de sa fondation est équivalent à miser sur chaque cheval du Grand National ou du Kentucky Derby à la fois afin d’être sûr de gagner. Quand la mafia sicilienne faisait de même, nous appelions cela du racket.
Tout ce qu’il restait à Gates à faire était d’attendre sachant ce qui allait arriver venant de Chine. Comment le savait-il ? Il a même parlé en détail à qui voulait l’entendre de la prochaine pandémie dans sa désormais infâme conférence chez Ted. Bill Gates était donc parfaitement conscient qu’un Coronavirus se déchaînerait dans un monde qui ne se doutait de rien et qui n’y était pas préparé. Penser le contraire est tout simplement naïf et Bill Gates devrait faire l’objet d’une enquête pour son implication dans cette attaque de guerre biologique contre notre pays, sinon contre le monde.
L’idée d’un Comité des Vaccins est venue de l’Organisation mondiale de la Santé qui a été instruite par Bill Gates, son plus grand bailleur de fonds. Il est question de vendre le vaccin au prix de 477 £ [546 €] l’injection. Si Bill Gates et GlaxoSmithKline ne sont pas empêchés, ils devraient tirer du seul Royaume-Uni plus de 45 milliards de livres sterling. [1] Donc, lorsque le conseiller scientifique du gouvernement, Sir Patrick Vallance, a annoncé les membres du Réseau Vaccinal britannique, nos pires craintes se sont réalisées. Rappelez-vous que Sir Patrick Vallance était jusqu’en 2018 président de la recherche et du développement chez GlaxoSmithKline avant de prendre ses fonctions de conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique. Selon GlaxoSmithKline, il a toujours un intérêt direct dans la société et devrait gagner des millions grâce à la production d’un vaccin national et mondial.
Alors que Sir Patrick Vallance tentait de convaincre le public à la télévision de l’efficacité du Comité des Vaccins, j’ai parcouru la liste des 34 noms de ses membres. Immédiatement, quelques noms m’ont sauté aux yeux que j’avais déjà découverts être à la solde et/ou impliqués dans la Fondation Bill et Melinda Gates alors qu’ils étaient dans les ministères, à recevoir principalement des subventions pour des projets, tels que Ian Hudson qui était directeur général de la MHRA [2] qui est le régulateur des médicaments pour le gouvernement britannique. Il a reçu 980 000 £ de la Fondation Bill et Melinda Gates. Ian Hudson et ses collègues avaient également participé à un voyage à Seattle payé par la Fondation Gates dont les responsables ont rencontré la MHRA de façon régulière au Royaume-Uni aux frais du contribuable britannique.
Ian Hudson a ensuite quitté la MHRA et rejoint la Fondation Bill et Melinda Gates en tant que conseiller spécial en organisant une autre subvention pour le nouveau PDG de la MHRA, le Dr June Raine, d’un montant de 292 000 £ pour des projets de la Fondation Gates. Le Dr June Raine a rencontré Bill Gates et l’OMS juste avant de prendre la direction de la MHRA financée par le contribuable britannique. La réunion visait à s’assurer qu’elle était d’accord avec le projet. Les archives publiques montrent qu’elle a séjourné à l’hôtel Cornavin. Son billet d’avion a coûté 241,14 £, son hébergement et ses repas ont coûté 273,97 £. Au total, le contribuable britannique a dépensé 515,11 £ pour le voyage secret du Dr Junes Raines dont le but était de rencontrer les responsables de la Fondation Gates et de l’OMS.
Nous savions que la Fondation Gates achetait de l’influence dans la régulation MHRA, qui est une agence gouvernementale. Le Dr Dan Hartman de la Fondation Bill et Melinda Gates a déclaré s’agissant du projet MHRA : «Lorsqu’un nouveau médicament ou vaccin est utilisé, il est essentiel que les risques potentiels soient identifiés tôt et compris.» En d’autres termes, leur financement leur a donné accès au régulateur médical pour savoir si leurs vaccins nuisent aux gens avant que le public puisse en être informé. Je suppose que c’est ce que 980 000 £ vous achète de notre gouvernement.
J’ai donc décidé de continuer à examiner la liste des membres du Réseau Vaccinal britannique pour voir combien sont connectés à la Fondation Bill et Melinda Gates. Il s’avère que sur les 34 membres, 32 sont directement financés et entretiennent une relation financière continue avec la Fondation Bill et Melinda Gates. Les deux seules personnes qui n’ont rien à voir avec Bill Gates travaillent pour le Laboratoire de Science et Technologie de la Défense, notre équivalent de la DARPA américaine, mais leur patron est Sir Patrick Vallance, donc ils sont sous le contrôle de GlaxoSmithKline.
Les sommes d’argent que Bill Gates a données sont importantes – par exemple, Adrian Hill qui a commencé comme critique de la Fondation Bill et Melinda Gates, surtout en ce qui concerne ses propres recherches et le vaccin R21, tout à coup reçoit 10 millions de livres sterling de la Fondation Bill et Melinda Gates pour ses recherches et, soudain, il se met à chanter les louanges de Bill. Andrew Pollard a reçu 36,9 millions de livres sterling, Eleanor Riley a eu 50 millions de livres sterling, le ministère britannique de la Santé et des Affaires sociales a reçu 80 millions de livres sterling et la liste ne s’arrête pas là. Certaines personnes ne reçoivent qu’un million.
L’Institut Pirbright, le régulateur des médicaments MHRA, le Conseil de Recherche Médicale, l’École d’Hygiène et de Médecine Tropicale de Londres reçoivent tous des financements réguliers de la Fondation Bill et Melinda Gates ainsi que l’Université Impériale d’Oxford, l’Université de Sheffield. L’École de Médecine Tropicale de Liverpool, l’Université St Georges de Londres et l’École d’Hygiène et de Médecine Tropicale de Londres reçoivent toutes un financement régulier de la fondation Gates et sont représentées au sein du Comité des Vaccins.
Il n’y a aucun scientifique sur la liste qui n’est pas financé par ou qui n’ait reçu de subventions de la Fondation Bill et Melinda Gates, ce qui signifie que le Réseau Vaccinal britannique n’a aucune impartialité ni crédibilité réelle. La Fondation Bill et Melinda Gates est la vache à lait qui n’a jamais cessé de donner. Aucun de ces scientifiques ne s’est-il jamais demandé pourquoi on lui donnait si facilement de l’argent ? Les institutions ne se sont-elles jamais demandé pourquoi Bill Gates leur jetait son argent ? Peut-être se le sont-elles demandé mais que, par la ensuite, elles s’en fichaient.
Quant à la relation entre Bill Gates et GlaxoSmithKline, les initiés ont décrit la relation commerciale entre Bill Gates et Emma Walmsley, PDG de GlaxoSmithKline, comme Hitler et Himmler sous stéroïdes. Mais si vous aviez un intérêt commercial légitime, vous n’auriez pas à payer toute la communauté scientifique impliquée dans les vaccins, dans l’épidémiologie et dans la virologie. Il est certain que les entreprises les plus compétentes et les meilleures devraient attribuer les contrats en fonction de leur dossier de sécurité et de leurs compétences en matière de production d’un vaccin viable. 45 milliards de livres sterling du seul Royaume-Uni est une grande motivation.
Imaginez que lorsque ce vaccin Bill Gates sera déployé parmi les 450 millions d’habitants à travers l’Europe, ils se feront des tonnes de thune. Oui, c’est l’expression pour désigner une énorme somme d’argent !
J’ai appris de GlaxoSmithKline que tous les vaccins doivent contenir un antigène appelé HCG. L’antigène HCG est utilisé dans les vaccins anti-fertilité. Il y aura également une concoction d’autres médicaments et métaux lourds à inclure sur lesquels j’obtiendrai plus de détails plus tard. Il semble que non seulement le vaccin GSK provoquera l’apparition de nouvelles souches de cancers environ 7 à 10 ans après l’injection, mais également que toutes les femmes en âge de procréer seront stérilisées.
Microsoft fondée par Bill Gates doit gérer l’intégralité de la surveillance informatique et du suivi des vaccins. Mon initié dit qu’ils parlent d’ajouter le marqueur électronique au vaccin. Bien que cela puisse sembler incroyable, Bill Gates et GSK l’ont déjà fait. En Inde, un groupe de filles des villages tribaux est décédé. Elles ont involontairement participé à l’essai du vaccin contre le virus du papillome humain. L’essai était mené par la Fondation Bill et Melinda Gates avec le vaccin fourni par GlaxoSmithKline et Merck Sharpe & Dohme Pharmaceuticals.
On estime que 30 000 doses ont été distribuées aux filles âgées de 9 à 14 ans. Aucune des filles impliquées n’avait consenti à être vaccinée, et elles n’avaient certainement pas consenti à être utilisée comme cobayes, ce qui a fini par entraîner leur mort. En fait, personne des tribus ne parlait anglais et les personnes embauchées pour administrer le vaccin non plus, donc elles ne savaient pas ce qu’il contenait, ce qui fait que le consentement éclairé était impossible. L’affaire judiciaire est actuellement en cours en Inde et un comité a été mis en place pour enquêter. Donc, tandis que Bill Gates obtient un accès sans précédent aux citoyens britanniques via la télévision de la BBC, il fait l’objet d’une enquête pour crimes contre l’humanité et de meurtre de filles en Inde. Il semble que la Fondation Bill et Melinda Gates soit sur le point de faire exactement la même chose ici au Royaume-Uni et de tester son nouveau vaccin Covid-19 sur un public britannique non averti. Les groupes de travail du Réseau Vaccinal britannique qui seront les boucs-émissaires lorsque tout cela échouera, approuveront le vaccin.
Au Royaume-Uni, le droit de consentir n’est pas absolu. Le consentement éclairé est requis pour toutes les investigations et procédures médicales et est considéré comme une pierre angulaire de la médecine moderne. Le cadre juridique stipule que l’intervention médicale sans consentement éclairé valide est une infraction pénale et peut être considérée comme voie de fait. Des exemples de telles situations comprennent un traitement contre la volonté du patient, un traitement différent de celui consenti, et un traitement après consentement lorsque le patient a délibérément reçu des informations erronées. Il y a bien sûr quelques exceptions telles que les mineurs et les personnes qui sont frappées d’une incapacité permanente, auxquels cas les parents ou les proches parents peuvent donner leur consentement ou, dans des cas extrêmes, un juge sera impliqué, l’affaire étant portée devant les tribunaux afin que le consentement soit accordé.
Cependant, lorsqu’il s’agit de protéger le public contre les maladies infectieuses, tout fout le camp par la fenêtre. Afin de protéger le public, la loi de 1984 sur la santé publique réglemente la notification des maladies et le traitement obligatoire d’affections telles que la tuberculose (TB) et le nouveau virus Covid-19. Le droit des individus au consentement est sévèrement limité dans deux domaines. Premièrement, des informations sur le diagnostic du patient doivent être fournies aux autorités compétentes. C’est donc une violation directe de la confidentialité, mais la loi stipule que le patient doit en être informé. Deuxièmement, les patients souffrant de maladies transmissibles peuvent être obligés de prendre des médicaments par administration supervisée ou par traitement hospitalier involontaire. Les articles 37 et 38 de la loi de 1984 sur la santé publique ont été utilisés pour détenir un homme dans le but de lui imposer un traitement contre la tuberculose à l’Hôpital Général de Manchester Nord, contre son gré. L’acte a été utilisé pour empêcher la propagation de la maladie.
Donc, toute idée que se font les gens d’un consentement éclairé ou d’un rejet du vaccin Covid-19 est fausse [3]. En ce qui concerne les maladies transmissibles, vous n’avez aucun droit [4]. Le public britannique sera transformé en cobayes testant un vaccin non testé, qui demande généralement 5-10 ans de tests sur les animaux et les humains. Si nous devons recevoir précipitamment un vaccin non testé, alors sûrement devons-nous avoir le droit à un consentement éclairé ?
Ne vous y trompez pas : ce que Bill Gates et GlaxoSmithKline sont sur le point de faire sera, dans l’avenir, considéré comme un démocide et un crime contre l’humanité ; selon les propres définitions des Nations Unies, cela correspond à la définition.
Quant à Chris Whitty, notre médecin-chef, et Sir Patrick Vallance, conseiller scientifique en chef, ils ont commis une trahison en suivant les ordres d’une puissance étrangère ; dans ce cas, Bill Gates, GSK et l’Organisation mondiale de la Santé qui est contrôlée par la Chine et financée par la Fondation Bill et Melinda Gates. Selon la loi sur la trahison de 1351… est considéré comme trahison de la part des fonctionnaires le fait de fomenter des complots visant à usurper, par la force et au mépris de l’autorité du Parlement, le gouvernement du Royaume, de détruire sa Constitution et, ce faisant, de détruire la monarchie… de tenir des consultations ou de conclure des accords, ou de conseiller, solliciter ou persuader d’autres personnes à de telles fins ou de consentir à de telles fins… dès que le pouvoir du gouvernement est usurpé, le roi est déposé…
Il est clair maintenant que notre premier ministre, Boris Johnson, a reçu l’ordre de se tenir à l’écart jusqu’à ce que tout soit terminé par Bill Gates qui aurait parlé avec lui pendant que Boris était à «l’hôpital». Deux fonctionnaires non élus, Chris Whitty et Sir Patrick Vallance dirigent maintenant le pays et non le Cabinet élu. Ce faisant, ils ont usurpé le Parlement et placé la population en résidence surveillée sur ordre de Bill Gates. Le Parlement doit être rappelé immédiatement. Notre Premier ministre, Boris Johnson, doit prendre le contrôle de cette situation et nous avons besoin d’une enquête publique sur les activités de Bill Gates et de la Fondation Bill et Melinda Gates, de GlaxoSmithKline et de l’OMS, de toute urgence.
Le Réseau Vaccinal britannique devrait être immédiatement suspendu dans l’attente d’une enquête approfondie sur ses membres. Plus important encore, aucun vaccin ne devrait être produit tant que nous n’aurons pas reçu l’assurance de notre gouvernement élu qu’aucune société ou filiale de Bill Gates ne sera impliquée dans la fabrication et/ou la livraison d’un vaccin.
Mon seul espoir est que les scientifiques qui ont une conscience, démissionnent du comité britannique des vaccins et ne souhaitent pas participer au démocide à venir de la population britannique, qui s’appellera Le Nouvel Holocauste du 21e siècle.
N’avons-nous rien appris de l’histoire ?
Traduit de l’anglais par BibiCabaya (20 avril 2020).
Source : Before It’s News https: //beforeitsnews.com/.
Les Notes de BibiCabaya :
1 Tests et vaccins représentent un revenu de 58 milliards de livres sterling, soit 66,5 milliards d’euros (rien que pour le Royaume-Uni).
2 Medicines and Healthcare products Regulatory Agency : Agence de réglementation des médicaments et produits de santé.
3 Il y a suffisamment d’information pour rejeter tout vaccin de Covid-19, d’une part, et pour rejeter la supposée «autorité» des entreprises se faisant passer pour des gouvernements et dont on sait qu’elles ne s’occupent que de commerce et d’intérêts financiers et non de l’intérêt général. La preuve est dans le contenu des vaccins eux-mêmes et dans le fait qu’il ne sont pas testés, d’une part, et que les sociétés qui les fabriquent prennent des accords de non responsabilité avec les «autorités» afin de ne pas être poursuivies en cas de mort, de maladie ou d’infirmité résultant de l’administration du vaccin…
4 Encore faut-il qu’il s’agisse, en effet, d’une «maladie transmissible», et le covid-19 n’est pas pire qu’une «grippe» – autrement quel serait l’intérêt de manipuler les statistiques de décès et l’opinion publique, et de créer la panique dans la population ? Sûrement, si le covid-19 était si «transmissible» et faisait tant de morts, nous le constaterions… Quoi qu’il en soit, nos droits doivent être réservés (par nous) en tout temps.
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